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Critique de Papiercrepon
Décidément j'ai la main heureuse avec les premiers romans en ce moment.
Le cadre initial du roman avait déjà tout pour me plaire, en restituant la confrontation ordinaire des gosses des HLM et des pavillons. Mais, après cette belle entrée en matière - avec éveil au street art inclus - l'intrigue évolue complètement, me touchant plus encore.
Ce virage inattendu donne une grande profondeur au roman. D'un texte fougueux, l'auteur donne à son propos une grande maturité. Et ose un cynisme qui se déploiera jusqu'au terrible dénouement.
J'ai tout spécialement adoré la conscientisation du personnage principal - c'est que sa trajectoire m'a parlé personnellement. J'aurai seulement aimé que les autres protagonistes soient plus développés.
Un roman contemporain qui interroge la marginalité et le conformisme, en demandant que sont nos rêves de jeunesse devenus.
Le cadre initial du roman avait déjà tout pour me plaire, en restituant la confrontation ordinaire des gosses des HLM et des pavillons. Mais, après cette belle entrée en matière - avec éveil au street art inclus - l'intrigue évolue complètement, me touchant plus encore.
Ce virage inattendu donne une grande profondeur au roman. D'un texte fougueux, l'auteur donne à son propos une grande maturité. Et ose un cynisme qui se déploiera jusqu'au terrible dénouement.
J'ai tout spécialement adoré la conscientisation du personnage principal - c'est que sa trajectoire m'a parlé personnellement. J'aurai seulement aimé que les autres protagonistes soient plus développés.
Un roman contemporain qui interroge la marginalité et le conformisme, en demandant que sont nos rêves de jeunesse devenus.
