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Critique de MaxenceAmiel


Dans six fragments de vie(s), Mathieu Riboulet tente de cerner ce qu'est pour l'homme le désir, le corps qui s'y rattache, les sensations qu'il fait naître et les vies qu'il transforme. Multiples corps à leurs lisières, dans une langue à la fois travaillée et sincère, allant toujours au delà de ce qu'elle veut dire, pour toucher aux lisières non plus du corps, mais de la poésie.
Mention spéciale à "le nom du soleil en Quechua", magnifique description d'une photo et notamment du corps d'homme qu'elle renferme, du désir suscité par la représentation, de la douleur de ne pouvoir saisir ce qui est passé et loin, représenté et donc fantasmé.
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