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Critique de polarjazz
Je lis de nombreux textes sur le bouddhisme. C'est le second ouvrage que je lis de Yongey Mingyour Rinpotché. Il serait une émanation du bodhisattva Vajrapani. Il appartient aux lignées nyingma et kagyu. Il est né en 1975.
L'ouvrage est à déguster comme un bon vin. Jusqu'à présent mes lectures ne me permettaient pas d'avancer sur ce chemin. Sans doute parce que le terme de « gourou » conserve une connotation sulfureuse en occident. Dès la préface, il est fait mention de « maîtres-racines » ce qui me convient mieux. L'ouvrage compte trois parties. Elles s'articulent sur le témoignage de l'engagement sur la voie de l'auteur. C'est un excellent vulgarisateur. Sa pensée est compréhensible et sincère. L'humour n'est jamais très loin ; et ses enseignements sont illustrés d'exemples puisés auprès de ses maîtres et de ses propres élèves.
La distance abolie, j'ai pu m'imprégner de la voie bouddhiste, des pratiques fondamentales (ngöndro) qui tracent un chemin de découverte de soi, de la prise de refuge, de la méditation qui soutient nos efforts pour travailler avec l'esprit. C'est une expérience vivante. On s'accroche à des perceptions erronées de la réalité, à des circonstances extérieures qui n'existent pas. Ce livre est une respiration vers la bodhiccita, c'est une posture. J'ai beaucoup rit lorsqu'il évoque notre esprit-singe, un esprit qui jacasse tout le temps et saute dans tous les coins. « Il est naturellement bourré de caféine – pour moi, ce sera de la théine - et tendu comme un ressort ». Il n'est plus temps de lire des textes sur le bouddhisme. Il est temps de s'engager dans la voie et de prendre refuge.
En fin d'ouvrage, un glossaire reprend certaines notions spécifiques au bouddhisme.
L'ouvrage est à déguster comme un bon vin. Jusqu'à présent mes lectures ne me permettaient pas d'avancer sur ce chemin. Sans doute parce que le terme de « gourou » conserve une connotation sulfureuse en occident. Dès la préface, il est fait mention de « maîtres-racines » ce qui me convient mieux. L'ouvrage compte trois parties. Elles s'articulent sur le témoignage de l'engagement sur la voie de l'auteur. C'est un excellent vulgarisateur. Sa pensée est compréhensible et sincère. L'humour n'est jamais très loin ; et ses enseignements sont illustrés d'exemples puisés auprès de ses maîtres et de ses propres élèves.
La distance abolie, j'ai pu m'imprégner de la voie bouddhiste, des pratiques fondamentales (ngöndro) qui tracent un chemin de découverte de soi, de la prise de refuge, de la méditation qui soutient nos efforts pour travailler avec l'esprit. C'est une expérience vivante. On s'accroche à des perceptions erronées de la réalité, à des circonstances extérieures qui n'existent pas. Ce livre est une respiration vers la bodhiccita, c'est une posture. J'ai beaucoup rit lorsqu'il évoque notre esprit-singe, un esprit qui jacasse tout le temps et saute dans tous les coins. « Il est naturellement bourré de caféine – pour moi, ce sera de la théine - et tendu comme un ressort ». Il n'est plus temps de lire des textes sur le bouddhisme. Il est temps de s'engager dans la voie et de prendre refuge.
En fin d'ouvrage, un glossaire reprend certaines notions spécifiques au bouddhisme.
