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Critique de Nadouch
Le début du roman est poussif et convenu : une trentenaire enlève d'une maison de retraite où croupit sa grand-mère une autre mamie qui s'ennuie ferme. de là, les 2 femmes vont se trouver plein de points communs, et surtout celui d'être un peu paumés dans la vie et très en rogne contre les hommes.
Cette hargne féminine donne un tournant intéressant au roman, qui prend un ton cynique parfois fort drôle, sans compter que se glisse un peu d'optimisme (la trentenaire reprend sa vie en main). L'écriture est fluide et parfois assez belle.
Malheureusement, la fin m'a vraiment déçue : un seul personnage a désormais la parole (alors que le roman était intéressant aussi car polyphonique) et ça se met à tourner en rond et à devenir un peu n'importe quoi (on revoit une vieille copine prostituée de la mamie...). Comme si l'auteur n'avait pas su finir, et c'est bien dommage.
Cette hargne féminine donne un tournant intéressant au roman, qui prend un ton cynique parfois fort drôle, sans compter que se glisse un peu d'optimisme (la trentenaire reprend sa vie en main). L'écriture est fluide et parfois assez belle.
Malheureusement, la fin m'a vraiment déçue : un seul personnage a désormais la parole (alors que le roman était intéressant aussi car polyphonique) et ça se met à tourner en rond et à devenir un peu n'importe quoi (on revoit une vieille copine prostituée de la mamie...). Comme si l'auteur n'avait pas su finir, et c'est bien dommage.
