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Critique de polarjazz
Progressivement, je découvre la littérature jeunesse. Il y a 30 ans, la littérature jeunesse était assez pauvre, mais aujourd'hui, les éditeurs proposent une littérature enfantine et adolescente moderne, variée et originale, mais inégale.
Ce premier tome des aventures d'Evguenia ne m'a pas captivée. Il manque une sorte d'élan romanesque. Pourtant les protagonistes sont attachants.
Le drame vécu par Evguenia qui perd ses parents victimes de la purge stalinienne entraîne l'adolescente dans un orphelinat de Carélie. Elle y rencontre Olga, une fille des rues. Les deux amies s'évadent de cet enfer et essaient d'atteindre la Finlande. Les descriptions de la nature hostile sont bien écrits. J'ai préféré la seconde partie du roman où les deux adolescentes sont recueillies pas des moines sur l'île principale de Valaam. Elles y rencontrent Koylia, un jeune fugitif russe avec la même histoire. Ce premier tome s'achève sur la séparation d'Evguenia et d'Olga. Olga se joint à une mission de la Croix Rouge. Elle espère retrouver sa famille dans un des nombreux camps de Sibérie. de leur côté, Kolya et Evguenia, pourchassés par le NKVD choisissent de disparaître dans l'anonymat d'une grande ville finlandaise.
Ce premier tome des aventures d'Evguenia ne m'a pas captivée. Il manque une sorte d'élan romanesque. Pourtant les protagonistes sont attachants.
Le drame vécu par Evguenia qui perd ses parents victimes de la purge stalinienne entraîne l'adolescente dans un orphelinat de Carélie. Elle y rencontre Olga, une fille des rues. Les deux amies s'évadent de cet enfer et essaient d'atteindre la Finlande. Les descriptions de la nature hostile sont bien écrits. J'ai préféré la seconde partie du roman où les deux adolescentes sont recueillies pas des moines sur l'île principale de Valaam. Elles y rencontrent Koylia, un jeune fugitif russe avec la même histoire. Ce premier tome s'achève sur la séparation d'Evguenia et d'Olga. Olga se joint à une mission de la Croix Rouge. Elle espère retrouver sa famille dans un des nombreux camps de Sibérie. de leur côté, Kolya et Evguenia, pourchassés par le NKVD choisissent de disparaître dans l'anonymat d'une grande ville finlandaise.
