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Critique de NathLe
Coup de coeur assuré pour ce roman qui aborde le harcèlement d'une manière originale, nuancée, en évitant l'écueil des clichés.
J'ai apprécié la construction de cette intrigue qui nous laisse découvrir petit à petit le secret des héros tout en nous dévoilant leurs faiblesses au compte-goutte : en effet, le récit est entrecoupé de pages du journal d'Ulis.
J'ai aimé l'idée de marcher pour purger sa peine et trouver au fond de soi la vérité qu'on s'est empressé d'oublier pour sauver la face. Ulis et André sont des personnages silencieux, attachants et diamétralement opposés ; mais tout deux sont liés par un point commun qu'ils ne soupçonnent pas…
Le résumé :
Ulis a commis une grave erreur qui l'a conduit devant le juge après son arrestation au collège. Devant une forme de déni, la juge prononce la sentence : « Ulis devra marcher sa peine ». Encadré par un adulte, il part quasiment aussitôt sur les routes, privé de portable et de toutes relations sociales ou familiales, pour purger sa peine. Il a comme obligation de travailler le programme scolaire et d'écrire chaque jour dans son journal : une pensée, une chose vue, un souvenir.
Cette longue marche ponctuée de belles rencontres conduira Ulis vers une lente prise de conscience de ses responsabilités mais aussi du lourd passé de celui qui l'accompagne en silence, veillant sur lui sans en avoir l'air.
J'ai apprécié la construction de cette intrigue qui nous laisse découvrir petit à petit le secret des héros tout en nous dévoilant leurs faiblesses au compte-goutte : en effet, le récit est entrecoupé de pages du journal d'Ulis.
J'ai aimé l'idée de marcher pour purger sa peine et trouver au fond de soi la vérité qu'on s'est empressé d'oublier pour sauver la face. Ulis et André sont des personnages silencieux, attachants et diamétralement opposés ; mais tout deux sont liés par un point commun qu'ils ne soupçonnent pas…
Le résumé :
Ulis a commis une grave erreur qui l'a conduit devant le juge après son arrestation au collège. Devant une forme de déni, la juge prononce la sentence : « Ulis devra marcher sa peine ». Encadré par un adulte, il part quasiment aussitôt sur les routes, privé de portable et de toutes relations sociales ou familiales, pour purger sa peine. Il a comme obligation de travailler le programme scolaire et d'écrire chaque jour dans son journal : une pensée, une chose vue, un souvenir.
Cette longue marche ponctuée de belles rencontres conduira Ulis vers une lente prise de conscience de ses responsabilités mais aussi du lourd passé de celui qui l'accompagne en silence, veillant sur lui sans en avoir l'air.
