Où l'on suit Jeanne tout au long de ses années de thésarde, en lettres modernes qui plus est, truc inutile par excellence, ses enthousiasmes et désillusions, sa famille qui trouve ça bien long de prendre du bon temsp comme ça, le maître de thèse aux abonnés absents, la secrétaire au mépris affiché, les petits boulots-pièges, la fatigue, les humeurs, ...
Plein d 'humour et de tendresse, à la fois fin et tellement vrai,
Carnets de thèse avec ses dessins rapides et vifs, est à faire lire aux thésards mais aussi à tous ceux qui fréquentent ou ont fréquenté l'université, et ont trouvé quelle n'était pas à la hauteur de leurs espérances.
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