Si nous n'étions si aveuglés par nos vaines préoccupations, combien nous trouverions de sujets à nous rassurer par ce que la vie nous offre de preuves de recommencement de bonnes choses.
C'est la rue, notre salle de conférences, non une salle d'hospice pleine de gêne et de glaciale nudité, où l'orateur s'exténue loin des sources de la vie. La rue fournit le thème continu et donne la vie à la pensée. L'éducation par les yeux doit être regardée comme la plus indispensable et la plus élémentaire, parce qu'elle est la plus vivante.