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Critique de Khalya
L'histoire du Minotaure transposée au monde moderne où réseaux sociaux et technologie font la loi, voici ce que nous propose cette réécriture.
Ariane déteste toute cette mise en scène permanente.
Mais comme elle est la seule à pouvoir approcher le Minotaure, elle a un rôle particulier : celui de guider les candidats dans le labyrinthe.
Si tout a commencé par une vengeance, c'est clairement à présent l'appât du gain qui prime.
Minos est un véritable tyran et je les ai vraiment détesté, lui et Pasiphaé.
J'ai aussi eu du mal avec Icare.
J'ai trouvé que, vis-à-vis d'Ariane, il avait la trahison un peu facile.
Si dans le roman on ne parle pas de Phèdre, les deux soeur aînées, oubliées de la mythologie, Acacallis et Xenodicé sont assez présentes et je les ai bien aimé (surtout Acacallis, je dois dire).
J'ai beaucoup aimé ce roman, au point de faire une nuit blanche pour le finir.
Après les réécritures de conte, notamment de la Belle et la Bête, je trouve qu'il y a une recrudescence de réécriture de la mythologie... et ce n'est pas pour me déplaire !
Ariane déteste toute cette mise en scène permanente.
Mais comme elle est la seule à pouvoir approcher le Minotaure, elle a un rôle particulier : celui de guider les candidats dans le labyrinthe.
Si tout a commencé par une vengeance, c'est clairement à présent l'appât du gain qui prime.
Minos est un véritable tyran et je les ai vraiment détesté, lui et Pasiphaé.
J'ai aussi eu du mal avec Icare.
J'ai trouvé que, vis-à-vis d'Ariane, il avait la trahison un peu facile.
Si dans le roman on ne parle pas de Phèdre, les deux soeur aînées, oubliées de la mythologie, Acacallis et Xenodicé sont assez présentes et je les ai bien aimé (surtout Acacallis, je dois dire).
J'ai beaucoup aimé ce roman, au point de faire une nuit blanche pour le finir.
Après les réécritures de conte, notamment de la Belle et la Bête, je trouve qu'il y a une recrudescence de réécriture de la mythologie... et ce n'est pas pour me déplaire !
