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Critique de pbrient


Décidément quand ça ne veut pas, ça ne vaut pas !
C'est long et tortueux comme l'esprit d'Annabelle Tremblay, qui entretient une relation schizophrénique affective avec sa soeur jumelle. Elle a été reconnue dépressive à l'âge de 11 ans après une hospitalisation d'un an en pédopsychiatrie suite à un événement dramatique survenu au sein de la fratrie. Vous l'aurez compris, l'histoire tourne autour de l'univers psychiatrique, domaine que j'affectionne particulièrement. Je me faisais un plaisir d'aborder à nouveau cette thématique mais le RDV est manqué ! le côté clinique et les descriptions en rapport avec la spécialité, les relations patients et soignants n'ont pas été abordées plus en profondeur. Oui je sais que certains vont me dire que ce n'est pas un manifeste du genre et ce n'est pas non plus ce que je recherchais. On va suivre les vicissitudes et vociférations de cette pauvre femme de 25 ans qui doit, maintenant, s'occuper de sa mère hospitalisée, atteinte de paranoïa et délires mystiques.
J'ai trouvé que les tournures de phrases étaient bien trop embrouillées. Elles rendent le texte pesant et ont parasité ma lecture. J'ai eu beaucoup de mal à trouver le rythme, l'histoire est noyée dans un style trop lourd. Je me suis fait violence pour ne pas lâcher prise. le texte prend réellement son envol à la page 328. Ceci sur, quand même, 369 pages !
Grosse déception donc pour cette auteure dont j'avais savouré le travail d'écriture sur le bus. Ceci étant un avis tout à fait personnel je vous souhaite une bonne lecture.
Résumé :
Un hôpital psychiatrique. Des patients. le 31 octobre. Un soir de pleine lune. La chambre 426. Fin.
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