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Critique de Nastasia-B
J'adore les livres de peinture car ils peuvent être lus par n'importe qui, même des enfants en bas âge, même des gens qui ne savent pas lire, même des gens qui ne parlent pas la langue. Hormis le fait qu'on peut difficilement les traduire en braille, je ne leur trouve que des qualités. Leur langage est universel.
Aussi n'êtes vous pas obligés de lire ce livre pour vous en faire une opinion juste et pourtant sérieuse. Ce livre parle de lui-même, d'un simple coup d'oeil. Et quand on parle de coup d'oeil, en voilà un qui en possédait un sacré de coup d'oeil.
Tout le monde n'aime pas Norman Rockwell. Certains lui dénient même le qualificatif de peintre pour le rabaisser au statut, prétendument inférieur, d'illustrateur.
Bref, on s'en fiche et moi la première, car je le dis bien haut et bien clairement, moi j'adore Norman Rockwell. Je trouve qu'il y a une justesse, une finesse, une originalité d'observation dans ses toiles qui en font un peintre tout à fait à part et, un peu à la façon d'un Eward Hopper, un authentique chroniqueur de l'Amérique de son temps, de sa façon de penser et d'agir, avec ses qualités et ses défauts.
À n'en pas douter, l'oeuvre de Rockwell sera de plus en plus prisée au cours du temps par les petits américains, d'une part parce que plus les années passent et plus elle nous conte une époque qui n'existe plus et qui nous intrigue donc forcément ; et d'autre part, parce que cette période correspondra à ce que les américains considéreront comme l'âge d'or des États-Unis, l'époque de l'accession au statut de première puissance mondiale.
Un illustrateur qui s'amuserait à en faire de même aujourd'hui en Chine produirait une oeuvre en tous point comparable à celle-ci.
Bien évidemment, l'essentiel des tableaux de Norman Rockwell n'ont pas été composés de façon trop savante, pendant des mois et des mois, dans les recoins sombres d'un atelier bohème, car les contraintes éditoriales imposaient un rythme de production ahurissant pour ce type de travail à l'huile sur toile.
J'espère qu'en vertu de cette contrainte, on reconnaîtra l'immense talent du peintre et son étonnant sens du pouvoir narratif d'une toile.
Bref, un très grand peintre à découvrir ou redécouvrir selon moi, mais ce n'est que moi, et mon avis n'est que mon avis, c'est-à-dire bien peu de chose à la vérité.
Aussi n'êtes vous pas obligés de lire ce livre pour vous en faire une opinion juste et pourtant sérieuse. Ce livre parle de lui-même, d'un simple coup d'oeil. Et quand on parle de coup d'oeil, en voilà un qui en possédait un sacré de coup d'oeil.
Tout le monde n'aime pas Norman Rockwell. Certains lui dénient même le qualificatif de peintre pour le rabaisser au statut, prétendument inférieur, d'illustrateur.
Bref, on s'en fiche et moi la première, car je le dis bien haut et bien clairement, moi j'adore Norman Rockwell. Je trouve qu'il y a une justesse, une finesse, une originalité d'observation dans ses toiles qui en font un peintre tout à fait à part et, un peu à la façon d'un Eward Hopper, un authentique chroniqueur de l'Amérique de son temps, de sa façon de penser et d'agir, avec ses qualités et ses défauts.
À n'en pas douter, l'oeuvre de Rockwell sera de plus en plus prisée au cours du temps par les petits américains, d'une part parce que plus les années passent et plus elle nous conte une époque qui n'existe plus et qui nous intrigue donc forcément ; et d'autre part, parce que cette période correspondra à ce que les américains considéreront comme l'âge d'or des États-Unis, l'époque de l'accession au statut de première puissance mondiale.
Un illustrateur qui s'amuserait à en faire de même aujourd'hui en Chine produirait une oeuvre en tous point comparable à celle-ci.
Bien évidemment, l'essentiel des tableaux de Norman Rockwell n'ont pas été composés de façon trop savante, pendant des mois et des mois, dans les recoins sombres d'un atelier bohème, car les contraintes éditoriales imposaient un rythme de production ahurissant pour ce type de travail à l'huile sur toile.
J'espère qu'en vertu de cette contrainte, on reconnaîtra l'immense talent du peintre et son étonnant sens du pouvoir narratif d'une toile.
Bref, un très grand peintre à découvrir ou redécouvrir selon moi, mais ce n'est que moi, et mon avis n'est que mon avis, c'est-à-dire bien peu de chose à la vérité.
