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Critique de bdelhausse


Le lecteur se trouve aux côté d'Arlequin, projeté dans ce que l'on devine être une république bananière, fuyant des soldats sanguinaires, ivres de violence et de sang. Puis, aux côtés d'une ravissante jeune femme, il découvre une antique cité.

Et la vérité se fait jour... il ne sait pas qui il est. Ni qui est cette femme qu'il finit par appeler "machine".

Il va alors visiter le harem de cette antique cité, vampirisé par la favorite du tyran des lieux. de charybde en scylla, à chaque fois qu'il pourrait mourir, Arlequin va passer dans un autre monde. Il rencontrera même Bertie très mal en point dans un univers style "Prohibition des années 30".

Arlequin est en réalité branché à une machine et toutes ces aventures sont virtuelles. C'est une nouvelle invention de la Pacific Inc. pour occuper un nouveau créneau dans l'industrie touristique. Seulement, dans ce créneau, l'entreprise qui emploie Arlequin (a.k.a Lavanel) a de sérieux concurrents, prêts à tout.

Sorte de "Mondwest" mixé de "Matrix", ce scénario est un grand melting pot d'aventures sans queue ni tête. Si le dessin est d'assez bon niveau, le scénario n'a pas beaucoup d'intérêt, trop facile, et sans aucun rapport avec le personnage d'Arlequin tel qu'il avait été délimité dans le tome 1 par Van Hamme.
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