>
Critique de JoiE2Lire
Si vous aimez les livres historiques, avec un peu de complot, des rebondissements, une écriture agréable et fluide, ce livre est pour vous.
En effet, lire un roman de José Rodrigues Dos Santos est toujours un plaisir. Pourquoi ? Parce qu'il arrive à donner du rythme, à nous apprendre énormément de choses sur divers sujets : dans ce livre comme on s'en doute d'après le titre, ça tourne autour du Vatican et de certains secrets qui l'entourent. Dans d'autres livres de l'auteur, on en apprenait surtout sur les sciences en général.
Comme toujours, on retrouve Tomas Noronha qui a l'avantage pour moi d'être un personnage humain, avec ses forces et ses faiblesses.
On est entouré de mystères tout au long du livre et les 50 dernières pages, un peu à huis clos sont supers, avec de nombreux rebondissements.
Le seul bémol sur ce livre c'est que certaines fois, notamment au milieu du livre, Thomas Noronha fait un peu trop "prof". Il parle sans note, il connait tout par coeur et la femme qui l'accompagne dont j'ai perdu le nom c'est pareil. C'est leur métier mais bon ça fait un peu trop quelques fois et pas forcément réalistes mais c'est vraiment le seul reproche que je pourrais faire.
En effet, lire un roman de José Rodrigues Dos Santos est toujours un plaisir. Pourquoi ? Parce qu'il arrive à donner du rythme, à nous apprendre énormément de choses sur divers sujets : dans ce livre comme on s'en doute d'après le titre, ça tourne autour du Vatican et de certains secrets qui l'entourent. Dans d'autres livres de l'auteur, on en apprenait surtout sur les sciences en général.
Comme toujours, on retrouve Tomas Noronha qui a l'avantage pour moi d'être un personnage humain, avec ses forces et ses faiblesses.
On est entouré de mystères tout au long du livre et les 50 dernières pages, un peu à huis clos sont supers, avec de nombreux rebondissements.
Le seul bémol sur ce livre c'est que certaines fois, notamment au milieu du livre, Thomas Noronha fait un peu trop "prof". Il parle sans note, il connait tout par coeur et la femme qui l'accompagne dont j'ai perdu le nom c'est pareil. C'est leur métier mais bon ça fait un peu trop quelques fois et pas forcément réalistes mais c'est vraiment le seul reproche que je pourrais faire.
