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Critique de jmb33320
La France de 1911 est toujours inquiète des risques de guerre qui se font de plus en plus présents. La faute aux politiques revanchards de 1870 mais aussi aux industriels pour qui au fond une guerre serait une aubaine pour multiplier leurs profits. Champcenais s'allie à Zülpicher, un industriel allemand, dans ce but.
Gurau fait ce qu'il peut pour tenter de calmer l'affrontement entre France et Allemagne mais le moins qu'on puisse dire c'est qu'il peine à trouver des soutiens. Il finira par obtenir le ministère des Affaires étrangères à la faveur d'un énième remaniement. Mais pourra-t-il agir ?
Heureusement le printemps s'annonce précoce et radieux : Jules Romains nous donne un chapitre d'anthologie sur un dimanche radieux de ginguettes et de musique.
Jerphanion et Jallez se présentent à l'agrégation. Les trois ans qu'ils ont passé à l'école Normale tirent à leur fin.
Laulerque doute de plus en plus des buts réels de l'Organisation à laquelle il appartient.
Ce dixième volume est davantage centré sur des questions de politique étrangère. Néanmoins je trouve toujours cette lecture passionnante. Je regrette seulement qu'on perde souvent de vue des personnages mis en avant dans des tomes précédents. Animer un tableau d'une telle ampleur n'est pas chose facile.
Gurau fait ce qu'il peut pour tenter de calmer l'affrontement entre France et Allemagne mais le moins qu'on puisse dire c'est qu'il peine à trouver des soutiens. Il finira par obtenir le ministère des Affaires étrangères à la faveur d'un énième remaniement. Mais pourra-t-il agir ?
Heureusement le printemps s'annonce précoce et radieux : Jules Romains nous donne un chapitre d'anthologie sur un dimanche radieux de ginguettes et de musique.
Jerphanion et Jallez se présentent à l'agrégation. Les trois ans qu'ils ont passé à l'école Normale tirent à leur fin.
Laulerque doute de plus en plus des buts réels de l'Organisation à laquelle il appartient.
Ce dixième volume est davantage centré sur des questions de politique étrangère. Néanmoins je trouve toujours cette lecture passionnante. Je regrette seulement qu'on perde souvent de vue des personnages mis en avant dans des tomes précédents. Animer un tableau d'une telle ampleur n'est pas chose facile.
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