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Critique de brigittelascombe
"Il faut chercher la vérité et avoir le courage de la dire" disait Jean Jaurés.
Cette vérité, ce "goût de la paix", ce "refus des barbaries" ont animé Théo Ronco tout au long de sa vie, surtout lorsqu'il a milité, en tant que correspondant de guerre(au Vietnam) pour L'humanité contre le programme de "vietnamisation" de Nixon et contre la guerre américaine au Vietnam.
Théo Ronco, fils d'ouvrier, simple métallurgiste engagé dans la lutte syndicale, était un autodidacte.Devenu journaliste européen, il parlait et écrivait vietnamien.Ce sont ses articles (écrits à Hanoï de 1967 à 1972)qu'a rassemblé et que nous présente son épouse Danielle de March-Ronco, dans ce témoignage (et document historique) posthume: Histoire du Vietnam Ecrits sous les bombes.
Evolution de la guerre, travaux agricoles retardés,famine,bombardements,viols,combats,attaques,destruction,émission de gaz toxiques,tortures,massacres,génocide,déportation,"crimes contre l'humanité"...c'est en "éveilleur de conscience" que Théo Ronco dénonce les abus et droits de l'homme enfreints dont il a été le témoin. Il s'élève contre l'impérialisme américain, pour au côté des Vietnamiens crier: "Le Vietnam aux Vietnamiens!"
C'est un beau portrait d'homme réservé,cultivé,pudique,modeste,sensible,courageux qui transparait entre les lignes.
C'est un pan d'histoire concernant la République démocratique du Vietnam qui nous est révélé.
C'est l'horreur à l'état pur, crachée à la figure du monde, par de multiples voix témoins, qui s'élèvent en une longue plainte comme celle de cette fillette qui découvre désespérée la mort de 18 membres de sa famille dont celle de sa tante violée alors que son nourrisson geint à ses côtés.
Pas de pathos! Des faits, juste des faits...explosifs comme des bombes...toxiques comme la dioxine propagée à tout va dont Théo Ronco a été l'une des victimes puisqu'il est mort d'un cancer les poumons et les neurones ravagés par cette arme chimique tant il s'est impliqué à sauver les blessés qui jonchaient les champs calcinés.
Et une question: La paix édifiée à coups de bombes est-elle la paix?
Danielle de March-Ronco, ex-député européen, ex-parlementaire et conseillère régionale PACA, écrivain engagée dans plusieurs causes dont celle des enfants victimes de la dioxine au Vietnam, y répondra en direct lors de mon interview sur le stand RCF Méditerranée lors de la fête du livre de Toulon le 17 novembre prochain.
Cette vérité, ce "goût de la paix", ce "refus des barbaries" ont animé Théo Ronco tout au long de sa vie, surtout lorsqu'il a milité, en tant que correspondant de guerre(au Vietnam) pour L'humanité contre le programme de "vietnamisation" de Nixon et contre la guerre américaine au Vietnam.
Théo Ronco, fils d'ouvrier, simple métallurgiste engagé dans la lutte syndicale, était un autodidacte.Devenu journaliste européen, il parlait et écrivait vietnamien.Ce sont ses articles (écrits à Hanoï de 1967 à 1972)qu'a rassemblé et que nous présente son épouse Danielle de March-Ronco, dans ce témoignage (et document historique) posthume: Histoire du Vietnam Ecrits sous les bombes.
Evolution de la guerre, travaux agricoles retardés,famine,bombardements,viols,combats,attaques,destruction,émission de gaz toxiques,tortures,massacres,génocide,déportation,"crimes contre l'humanité"...c'est en "éveilleur de conscience" que Théo Ronco dénonce les abus et droits de l'homme enfreints dont il a été le témoin. Il s'élève contre l'impérialisme américain, pour au côté des Vietnamiens crier: "Le Vietnam aux Vietnamiens!"
C'est un beau portrait d'homme réservé,cultivé,pudique,modeste,sensible,courageux qui transparait entre les lignes.
C'est un pan d'histoire concernant la République démocratique du Vietnam qui nous est révélé.
C'est l'horreur à l'état pur, crachée à la figure du monde, par de multiples voix témoins, qui s'élèvent en une longue plainte comme celle de cette fillette qui découvre désespérée la mort de 18 membres de sa famille dont celle de sa tante violée alors que son nourrisson geint à ses côtés.
Pas de pathos! Des faits, juste des faits...explosifs comme des bombes...toxiques comme la dioxine propagée à tout va dont Théo Ronco a été l'une des victimes puisqu'il est mort d'un cancer les poumons et les neurones ravagés par cette arme chimique tant il s'est impliqué à sauver les blessés qui jonchaient les champs calcinés.
Et une question: La paix édifiée à coups de bombes est-elle la paix?
Danielle de March-Ronco, ex-député européen, ex-parlementaire et conseillère régionale PACA, écrivain engagée dans plusieurs causes dont celle des enfants victimes de la dioxine au Vietnam, y répondra en direct lors de mon interview sur le stand RCF Méditerranée lors de la fête du livre de Toulon le 17 novembre prochain.
