>
Critique de Davalian
Nombreuses sont les raisons qui peuvent – a priori – dissuader le lecteur d'investir dans une série consacrée à Picsou : le côté enfantin de cette série, le prix, le nombre de volumes associé à la licence Disney. Tout cela est rapidement balayé lorsque l'on entre dans ce recueil. Celui-ci est conséquent (près de trois cents pages) et jouit d'une édition soignée, comprenant bonus (l'arbre généalogique de la famille) et marque-page intégré.
Les douze histoires ne se lisent pas d'un seul tenant. Des pauses sont indispensables. Il s'agit là d'un album que l'on va mettre quelque temps à lire en passant entre temps à autre chose. Chacune d'entre elles est abondamment commentée par Don Rosa qui démontre une volonté d'écrire quelque chose de sérieux et offre une concordance avec ce qu'à déjà écrit Carl Barks. Ce souci est pris très au sérieux et encore renforcé par des clins d'oeil cinématographies. le potentiel de relecture est bien présent.
A une seule exception près, les histoires se suivent avec plaisir. le passage par le Klondike est le moins réussi. L'auteur en attendait beaucoup, mais le résultat est assez contrasté pour le lecteur d'aujourd'hui : côté trop enfantin laissant la place à des raccourcis faciles, présence trop éphémère d'une Goldie dont on pouvait attendre davantage.
Les autres histoires sont d'une tout autre trempe et nous offrent un tour du monde dans le temps et dans l'espace avec des arrêts privilégiés en Écosse, aux Etats-Unis, en Australie, en Afrique du Sud, au Canada… Les destinations sont variées… tout autant que les personnages : les ancêtres des Rapetou, des familles Duck, Trouvetou, Flairsou… sans compter certains personnages destinés à devenir récurrents (Soapy). Certaines célébrités viendront également compléter le casting : Jessie James, Wyatt Earp, Théodore Roosevelt.
Ce premier tome est donc une bonne surprise. Il se consacre davantage sur l'enrichissement de Picsou. Il faudra attendre la dernière histoire pour voir apparaître Donald et ses neveux… est-ce là l'annonce d'un nouveau cap ? La première partie de L'épopée de Picsou est un album à lire et à partager entre adultes et enfants. Les plus jeunes apprécieront les gags et les lecteurs plus âgés pourront être surpris par les références laissées ici et là.
Les douze histoires ne se lisent pas d'un seul tenant. Des pauses sont indispensables. Il s'agit là d'un album que l'on va mettre quelque temps à lire en passant entre temps à autre chose. Chacune d'entre elles est abondamment commentée par Don Rosa qui démontre une volonté d'écrire quelque chose de sérieux et offre une concordance avec ce qu'à déjà écrit Carl Barks. Ce souci est pris très au sérieux et encore renforcé par des clins d'oeil cinématographies. le potentiel de relecture est bien présent.
A une seule exception près, les histoires se suivent avec plaisir. le passage par le Klondike est le moins réussi. L'auteur en attendait beaucoup, mais le résultat est assez contrasté pour le lecteur d'aujourd'hui : côté trop enfantin laissant la place à des raccourcis faciles, présence trop éphémère d'une Goldie dont on pouvait attendre davantage.
Les autres histoires sont d'une tout autre trempe et nous offrent un tour du monde dans le temps et dans l'espace avec des arrêts privilégiés en Écosse, aux Etats-Unis, en Australie, en Afrique du Sud, au Canada… Les destinations sont variées… tout autant que les personnages : les ancêtres des Rapetou, des familles Duck, Trouvetou, Flairsou… sans compter certains personnages destinés à devenir récurrents (Soapy). Certaines célébrités viendront également compléter le casting : Jessie James, Wyatt Earp, Théodore Roosevelt.
Ce premier tome est donc une bonne surprise. Il se consacre davantage sur l'enrichissement de Picsou. Il faudra attendre la dernière histoire pour voir apparaître Donald et ses neveux… est-ce là l'annonce d'un nouveau cap ? La première partie de L'épopée de Picsou est un album à lire et à partager entre adultes et enfants. Les plus jeunes apprécieront les gags et les lecteurs plus âgés pourront être surpris par les références laissées ici et là.
