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Critique de LadyOsoleil
Un livre très mal écrit!
Je ne comprends pas qu'on puisse décider d'écrire un livre de sociologie et débiter des vérités sans fondement, sans base scientifique, sans faire appel à la littérature déjà présente sur le sujet.
Tout l'intérêt de discuter de sujets de société est de pouvoir étayer ses propos, sortir des lieux-dits afin de montrer, de la façon la plus transparente possible, la vérité d'un sujet pour pousser à la réflexion et la discussion.
Or, dans cet ouvrage d'Hanna Rosin j'ai eu l'impression de lire des panneaux Facebook écrits par des bots russes. Aucune justification des propos tenus, elle ne fait appel qu'en de rares à des études menés auparavant, l'auteur se vante parfois même de sortir des arguments juste parce que ses proches lui ont dit qu'elles vivaient les choses de cette façon.
Par sa tournure, ce livre ressemble aux articles que l'on voit dans les magazines féminins qui, voulant surfer sur la vague de l'émancipation de la femme, assure que l'on peut lever le poing haut pour réclamer l'égalité mais pas trop haut quand même.
Je trouve cela encore plus dangereux lorsqu'on constate que l'auteure tient une rubrique "Femmes" dans un Webzine et prétend vouloir intégrer son ouvrage à la littérature de sociologie féministe tout en sortant des vérités sexistes, misogynes, alourdissant les charges mentale et maternelle, mais surtout des vérités très orientées sur le modèle hétéro-sexué des relations entre hommes et femmes.
On sent bien qu'il y a eu volonté d'accrocher le lecteur avec des phrases toutes faites, de pré-conçus ridicules.
En somme, si l'idée de départ me paraissait très bonne, le sujet est très mal traité par l'auteure. Pire, je pense que ce livre fait plus de mal que de bien, il n'apporte rien à une discussion qui nécessite de pouvoir s'appuyer sur des ouvrages avec de vraies références.
Je ne comprends pas qu'on puisse décider d'écrire un livre de sociologie et débiter des vérités sans fondement, sans base scientifique, sans faire appel à la littérature déjà présente sur le sujet.
Tout l'intérêt de discuter de sujets de société est de pouvoir étayer ses propos, sortir des lieux-dits afin de montrer, de la façon la plus transparente possible, la vérité d'un sujet pour pousser à la réflexion et la discussion.
Or, dans cet ouvrage d'Hanna Rosin j'ai eu l'impression de lire des panneaux Facebook écrits par des bots russes. Aucune justification des propos tenus, elle ne fait appel qu'en de rares à des études menés auparavant, l'auteur se vante parfois même de sortir des arguments juste parce que ses proches lui ont dit qu'elles vivaient les choses de cette façon.
Par sa tournure, ce livre ressemble aux articles que l'on voit dans les magazines féminins qui, voulant surfer sur la vague de l'émancipation de la femme, assure que l'on peut lever le poing haut pour réclamer l'égalité mais pas trop haut quand même.
Je trouve cela encore plus dangereux lorsqu'on constate que l'auteure tient une rubrique "Femmes" dans un Webzine et prétend vouloir intégrer son ouvrage à la littérature de sociologie féministe tout en sortant des vérités sexistes, misogynes, alourdissant les charges mentale et maternelle, mais surtout des vérités très orientées sur le modèle hétéro-sexué des relations entre hommes et femmes.
On sent bien qu'il y a eu volonté d'accrocher le lecteur avec des phrases toutes faites, de pré-conçus ridicules.
En somme, si l'idée de départ me paraissait très bonne, le sujet est très mal traité par l'auteure. Pire, je pense que ce livre fait plus de mal que de bien, il n'apporte rien à une discussion qui nécessite de pouvoir s'appuyer sur des ouvrages avec de vraies références.
