Un peu comme tous les livres de Roth que j'ai lus : génial une page sur dix; remplit le reste de manière fastidieusement inconsistante; long sur la fin - soit la deuxième moitié du livre. Jamais autant inspiré que quand il parle de sexe. On baille un peu. Puis revient une formulation géniale et on sursaute.
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