Sans intérêt, bien que je sois infiniment respectueux de
Jean-Marie ROUGHOL, de son parcours et de son récit. En revanche, je le suis beaucoup moins de
Jean-Louis DEBRE, dont l'intervention me parait cousue de fil blanc. La classe aurait été de ne pas apparaître du tout. Sinon, puisqu'il était censé relire, mettre en forme et corriger, lecresultat est raté.
Mais, le véritable auteur, lui, est inattaquable.
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