"L'écriture semble avoir surgi du poète, sans effort. du coup, l'énergie du texte semble ne pas avoir de limite. On le lit, d'une traite, en épousant la vitalité de son style. Il y a de quoi se laisser en effet emporter, mais des raisons aussi de méditer, à une vitesse plus lente. Lorsque ce texte est sorti en librairie, point d'écho. "Quand
La Doublure parut, son insuccès me causa un choc d'une violence terrible. J'eus l'impression d'être précipité jusqu'à terre du haut d'un prodigieux sommet de gloire", confia-t-il.
Amaury da Cunha, publié le 18 avril 2013 dans le Monde
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