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Critique de tournicoti
Quand la peur n'a plus de pouvoir sur nous…
Yohann Brakash n'a pas le profil courant : il ne connait pas la peur… une exception de la nature ! C'est grâce à son audace (et à son amour pour Marion) que se déroule cette enquête aux méthodes originales sur des magouilles politico-financières bien dans l'air du temps. Nous pénétrons dans le monde « poétique » du CAC 40 et du Pouvoir, la DGSE, la DGSI et le GIGN, instructif et tout à fait crédible.
C'est grâce à Yohann également que nous avons le plaisir de voir Christine se métamorphoser : issue de la haute société guindée, dévalorisée par des parents sans coeur et piétinée par un mari arrogant, ce n'était pourtant pas gagné ! On voit même des agents de l'Etat ouvrir les yeux et changer de camp, que du bonheur !
Quand la peur n'a plus de pouvoir sur nous, s'ouvre le champ des possibles. Quand nous réussissons à nous libérer du carcan de la soumission, l'audace de vivre se manifeste. Cela demande courage et détermination, mais la joie est alors au rendez-vous. Ce livre est une invitation à nous émanciper : « Les grands ne sont grands que parce que nous sommes à genoux : levons-nous ! ». Si nous nous levons, nous sommes enfin capables de vivre pleinement et… la société entière se transforme.
Le diagnostic de Martin Rouz est clair : aucune vraie révolution ne se fera tant que les hommes restent esclaves de leurs peurs.
En outre, j'ai apprécié l'humour dans ce roman et la façon simple et efficace de lire dans la pensée des personnages. Et bien-sûr le choix des citations en tête de chapitres.
Yohann Brakash n'a pas le profil courant : il ne connait pas la peur… une exception de la nature ! C'est grâce à son audace (et à son amour pour Marion) que se déroule cette enquête aux méthodes originales sur des magouilles politico-financières bien dans l'air du temps. Nous pénétrons dans le monde « poétique » du CAC 40 et du Pouvoir, la DGSE, la DGSI et le GIGN, instructif et tout à fait crédible.
C'est grâce à Yohann également que nous avons le plaisir de voir Christine se métamorphoser : issue de la haute société guindée, dévalorisée par des parents sans coeur et piétinée par un mari arrogant, ce n'était pourtant pas gagné ! On voit même des agents de l'Etat ouvrir les yeux et changer de camp, que du bonheur !
Quand la peur n'a plus de pouvoir sur nous, s'ouvre le champ des possibles. Quand nous réussissons à nous libérer du carcan de la soumission, l'audace de vivre se manifeste. Cela demande courage et détermination, mais la joie est alors au rendez-vous. Ce livre est une invitation à nous émanciper : « Les grands ne sont grands que parce que nous sommes à genoux : levons-nous ! ». Si nous nous levons, nous sommes enfin capables de vivre pleinement et… la société entière se transforme.
Le diagnostic de Martin Rouz est clair : aucune vraie révolution ne se fera tant que les hommes restent esclaves de leurs peurs.
En outre, j'ai apprécié l'humour dans ce roman et la façon simple et efficace de lire dans la pensée des personnages. Et bien-sûr le choix des citations en tête de chapitres.
