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Critique de JunoR
Le meilleur tome de la série, selon moi. Après la charnière que constitue le volume précédent, on entre véritablement dans le vif du sujet intéressant, c'est à dire: les choses sont complexes, on fait tous des erreurs, les amis sont parfois pleins de défauts, les ennemis peuvent se croire sincèrement dans le "bon droit", etc.
Je dois dire que l'apparition de Dolores Ombrage fait beaucoup dans mon affection pour ce tome. Je pense qu'il s'agit du personnage antagoniste littéraire le plus truculent que je n'aie jamais eu l'occasion de rencontrer. Elle est absolument abjecte et détestable à souhait mais ce qui est vraiment intéressant, c'est qu'elle n'appartient pas au "côté obscur" et se trouve donc théoriquement dans le camp des "gentils".
Un excellent méchant donc, propre à mettre de la nuance et un peu de piment par rapport à la niaiserie dichotomique des premiers tomes.
Je dois dire que l'apparition de Dolores Ombrage fait beaucoup dans mon affection pour ce tome. Je pense qu'il s'agit du personnage antagoniste littéraire le plus truculent que je n'aie jamais eu l'occasion de rencontrer. Elle est absolument abjecte et détestable à souhait mais ce qui est vraiment intéressant, c'est qu'elle n'appartient pas au "côté obscur" et se trouve donc théoriquement dans le camp des "gentils".
Un excellent méchant donc, propre à mettre de la nuance et un peu de piment par rapport à la niaiserie dichotomique des premiers tomes.
