Dès qu'il s'agit d'amour, la fausse monnaie est d'usage courant : on dit les choses sans les dire, le plus simple est de ne rien dire ou de mentir, les mots n'ont plus de valeur et chacun essaie de dérober à autrui ce qu'il pense.
Si les dévergondées ne séduisent pas, oserais-je dire que je ne trouve rien de plus ennuyeux que la compagnie des prudes et des buveuses d'eau ? Vive les femmes qui apprécient le vin couleur de sang vermeil et le champagne, gloire de nos vignes et de notre civilisation !
Comment les femmes tombent-elles si aisément dans le panneau ? Je me suis souvent posé la question. L'amour est leur vie et la conduite de leur vie. Souvent, ennui ou naïveté, elle croient ce qu'on leur dit, dans l'illusion d'être aimées tandis que l'homme manifeste plutôt de la commisération pour celles qu'il appelle les dindes. Se faire pigeonner, c'est se laisser conter fleurette.
Cette femme si douce pour moi qui leur coupait le fond de la gorge avec des ciseaux, cric-crac, aux poules, j’en tremble encore. N’est-ce pas la façon dont on zigouille l’amour quand on n’en veut plus ?
Je pensai qu’on avait vite fait de disparaître. S’en était allé de moi quelque chose d’immense et de miséricordieux où je ne pourrais plus me réfugier.
Phrase dont je me souvins toute ma vie : 'Les femmes, comment allez-vous vous en passer, des femmes?...’