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Critique de BazaR


Étonnant enchainement des épisodes dans cette série.
Les épisodes à numéro pair retracent le reboot de la naissance de la super-héroïne ; ceux à numéro impair ont lieu plusieurs années plus tard, une époque que l'on pourrait nommer « maintenant ». Les éditions Urban comics ont décidé de regrouper les numéros pairs dans le tome 1 de Wonder Woman Rebirth, et les autres dans le tome 2 (pour la suite je ne sais pas encore).

Ce tome 2 place donc l'action « maintenant ». de l'eau a coulé sous les ponts. Wonder Woman est devenue un pilier de la Ligue de Justice et son amie Barbara Ann Minerva – la seule personne qui savait communiquer avec elle dans le monde des hommes – est devenue sa pire ennemie Cheetah.
Diana ne comprend plus. Ses souvenirs ne semblent pas coller avec la réalité. Vérité, mensonges, tout est ambigu et l'Amazone essaie de dénouer le sac de noeud. le scénariste Greg Rucka utilise cette approche pour justifier le « rebirth » de l'héroïne, ses souvenirs datant du reboot précédent se révélant illusion et mensonge.

Les épisodes pairs et impairs n'emploient pas le même dessinateur – on a vraiment deux séries en une. Ici c'est Liam Sharp qui est à la manoeuvre ; un dessin typé peinture statique, efficace pour les postures mais manquant de dynamique pour les scènes d'action. le physique plus basané proposé par Nicola Scott disparaît et on retrouve l'amazone que l'on connaît. Sa psychologie, son empathie, reste invariantes cependant. Wonder Woman reste une héroïne positive préférant la paix à la guerre. Ce que j'apprécie.
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