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Wonder Woman Rebirth tome 2 sur 7
EAN : 9791026813163
176 pages
Urban Comics Editions (10/11/2017)
3.72/5   32 notes
Résumé :
Déesse de la Guerre, fille de Zeus, reine des Amazones… Diana de Themyscira est tout ça à la fois. Mais le retour de son ennemie de toujours, Cheetah, et celui de son ancien amant, Steve Trevor, jettent un doute sur la réalité de son passé. Et si l’Île du Paradis cachait en son sein un véritable enfer pour Wonder Woman ?
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Étonnant enchainement des épisodes dans cette série.
Les épisodes à numéro pair retracent le reboot de la naissance de la super-héroïne ; ceux à numéro impair ont lieu plusieurs années plus tard, une époque que l'on pourrait nommer « maintenant ». Les éditions Urban comics ont décidé de regrouper les numéros pairs dans le tome 1 de Wonder Woman Rebirth, et les autres dans le tome 2 (pour la suite je ne sais pas encore).

Ce tome 2 place donc l'action « maintenant ». de l'eau a coulé sous les ponts. Wonder Woman est devenue un pilier de la Ligue de Justice et son amie Barbara Ann Minerva – la seule personne qui savait communiquer avec elle dans le monde des hommes – est devenue sa pire ennemie Cheetah.
Diana ne comprend plus. Ses souvenirs ne semblent pas coller avec la réalité. Vérité, mensonges, tout est ambigu et l'Amazone essaie de dénouer le sac de noeud. le scénariste Greg Rucka utilise cette approche pour justifier le « rebirth » de l'héroïne, ses souvenirs datant du reboot précédent se révélant illusion et mensonge.

Les épisodes pairs et impairs n'emploient pas le même dessinateur – on a vraiment deux séries en une. Ici c'est Liam Sharp qui est à la manoeuvre ; un dessin typé peinture statique, efficace pour les postures mais manquant de dynamique pour les scènes d'action. le physique plus basané proposé par Nicola Scott disparaît et on retrouve l'amazone que l'on connaît. Sa psychologie, son empathie, reste invariantes cependant. Wonder Woman reste une héroïne positive préférant la paix à la guerre. Ce que j'apprécie.
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Ce tome est le premier d'une nouvelle époque pour Wonder Woman. Il fait suite à la version New 52 qui s'est terminée avec Wonder Woman, Déesse de la guerre Tome 3 (épisodes 48 à 52, Rebirth 1). Celui-ci contient les épisodes Wonder Woman: Rebirth 1, et Wonder Woman 1, 3, 5, 7, 9 et 11, écrits par Greg Rucka, dessinés et encrés par Liman Sharp, avec une mise en couleurs de Laura Martin. L'épisode Rebirth a été dessiné par Matthew Clark, encré par Sean Parsons et mis en couleurs par Jeremy Colwell. le tome 1 Wonder Woman Rebirth, tome 1 (épisodes 2, 4, 6, 8, 10, 12, 14) est dessiné par Nicola Scott, et Bilquis Evely, et propose une nouvelle version des origines de Wonder Woman. Cette séparation entre épisode pair et impair s'explique par le rythme de parution bimensuel qui a conduit à les répartir sur 2 équipes artistiques différentes.

Rebirth - Diana (Wonder Woman) éprouve des doutes quant à son identité, son histoire personnelle et la réalité qui l'entoure. Elle a l'impression d'un mouvement de balancier entre deux histoires différentes, sans qu'elle ne sache laquelle est plus réelle que l'autre. Elle rentre chez elle et observe le casque d'Ares qui est sur sa commode. Elle finit par se rendre à Olympus. Épisodes impairs - Wonder Woman s'est rendue dans la jungle d'Urzari, dans la région d'Okarango dans le pays du Bwunda. Elle est à la recherche d'une personne bien précise : la docteure Barbara Ann Minerva, actuellement sous sa forme de Cheetah. Dans un premier temps, elle se heurte à des êtres mi-homme mi-lycaon, qui l'empêchent de progresser.

Dans le même temps, Steve Trevor se trouve en mission dans le même pays à quelques kilomètres de là, pour mettre un terme aux exactions du colonel Andres Cadulo. Il s'agit d'une opération commanditée par le projet A.R.G.U.S. (Advanced Research Group Uniting Super-Humans), sous la responsabilité d Etta O. Candy. Elle-même en réfère à sa supérieure hiérarchique Sasha Bordeaux. Sur le terrain, Steve Trevor et son équipe sont amenés à se diriger vers cette même jungle Urzari. Diana a établi le contact avec Cheetah et essaye d'échanger avec elle. Elle comprend qu'elle est toujours sous le coup d'une forme de malédiction (celle qui a transformé Minerva en Cheetah) qui l'éloigne de plus en plus de son humanité. Qui plus est, le groupe de Bouda (les créatures garou) ne sont pas au service de Cheetah mais d'une déité appelée Urzkartaga.

En 2011, dans Flashpoint, Geoff Johns & Andy Kubert mettent un terme à la continuité interne de l'univers partagé DC, établie depuis 1985, après Crisis on infinite earths de Marv Wolfman & George Perez. À partir de 2011, l'ensemble des séries et des personnages DC redémarrent à zéro dans une opération baptisée The New 52. le personnage de Wonder Woman a lui aussi droit à sa série et à son redémarrage avec Wonder Woman, Tome 1 : Liens de sang de Brian Azzarello & Cliff Chiang. En 2016, l'éditeur DC Comics annonce un nouveau redémarrage, l'opération appelée Rebirth, mais il ne s'agit pas d'une remise à zéro. Lorsque ce présent tome d'une nouvelle série de Wonder Woman paraît, le lecteur ne sait pas encore ce que recouvre Rebirth, ni quels changements il va amener aux personnages datant de New 52. Par exemple la nouvelle série Superman (par Peter J. Tomasi & Patrick Gleason) mélange des personnages pré Flashpoint et post Flashpoint.

En ayant à l'esprit cette dichotomie entre les 2 versions, le lecteur comprend mieux ce qui se joue dans l'épisode Rebirth. le personnage Wonder Woman ne sait plus trop à quelle version se vouer pré ou post Flashpoint. Greg Rucka en profite pour intégrer la notion de vérité, valeur directement liée au personnage principal par le biais de son lasso de vérité, sorte de transposition du détecteur de mensonge à la création duquel William Moulton Marston (le créateur de Wonder Woman) aurait participé. Matthew Clark réalise des dessins descriptifs propres sur eux, aux contours bien nets, en respectant l'allure du costume New 52 de Diana, sans exagérer sur ses courbes. le lecteur termine cet épisode de transition pré-Rebirth / post-Rebirth, un peu décontenancé, sans avoir appris grand-chose, sans aucune idée de la direction de la série mensuelle.

Il découvre ensuite les dessins de Liam Sharp, artiste ayant travaillé sur des séries comme Testament de Douglas Rushkoff, ou réalisé une histoire des Aliens Fast track to Heaven. Il réalise également des dessins dans un registre descriptif, mais avec une utilisation de l'encrage plus poussée pour représenter la texture de chaque surface et pour sculpter plus finement chaque forme. Cette approche donne une consistance impressionnante à la jungle, à la fourrure des animaux et des créatures bouda. Elle rend compte du fait que les uniformes militaires du groupe de Steve Trevor ont été déjà portés maintes fois. L'usage de ces petits traits secs confère un âge de trentenaire aux personnages, ce qui change des protagonistes ayant tous une petite vingtaine d'années. Wonder Woman a l'air crédible en guerrière, malgré son bustier et ses épaules dénudées, en particulier grâce à une forme de jupette qui évite une apparence trop pin-up en maillot de bain. Sharp n'a d'autre possibilité que de respecter l'apparence de Cheetah : un corps de femme dénudé, recouvert de fourrure, avec bien sûr une grosse poitrine, mais aussi des griffes et des dents acérés, rappelant qu'il s'agit d'un félin sauvage et dangereux. Il conserve l'apparence de petite boulotte à Etta Candy, tout en lui donnant une autorité naturelle. La première apparition de Sasha Bordeaux dans sa cuisine laisse le lecteur avec la bouche bée, devant sa beauté et son naturel. Veronica Cale est un peu moins convaincante, avec un visage trop lisse, et une beauté trop froide.

Au fil des pages, le lecteur finit par regretter que Liam Sharp maîtrise trop bien l'art et la manière de masquer l'absence d'arrière-plan, en particulier avec des personnages occupant toute l'aire de la case. du coup, certains environnements ne semblent plus qu'une collection de décors sans réussir à donner une impression de lieu avec une topographie consistante. Il apparaît aussi régulièrement que le dessinateur a pris grand plaisir à réaliser certaines cases. Il y a un dessin pleine page ou presque dans lequel Steve Trevor et ses 2 acolytes progressent dans des ruines, prêts à riposter au moindre signe d'agression. Les créatures bouda se lançant sur Wonder Woman sont pleine d'entrain pour aller dépecer leur proie. le lecteur admire Cheetah se déplaçant à toute allure, ou encore montrant ses griffes ou ses crocs. le dessinateur réalise une page poignante sur fond noir, dans laquelle les bordures de cases ont la forme de barreaux de cellule, avec les visages des prisonniers qui sont mangés par l'obscurité de la prison. Dans l'avant dernier épisode, Diana sort pour saluer la foule dans un gigantesque centre commercial à l'occasion d'un dessin en double page, où Sharp s'est fortement investi pour montrer chaque individu formant la foule de badauds.

En entamant cette nouvelle phase des aventures de la princesse amazone, le lecteur en attend beaucoup. Meredith Finch n'avait pas vraiment enthousiasmé le lectorat dans la série précédente, et Greg Rucka avait laissé une impression plutôt positive lors de son précédent passage sur la série, commencé en 2002, voir Wonder woman, tome 1. Il doit composer avec le contexte éditorial assez particulier de Rebirth, entre 2 incarnations du personnage. Il met en scène plusieurs des personnages réguliers de la série : Steve Trevor (une version soldat baroudeur, sans beaucoup de personnalité), une version d'Etta Candy qui fait penser à Amanda Waller (avec un meilleur caractère) dans sa version pré-Flashpoint, Cheetah sans beaucoup de personnalité non plus, Veronica Cale (pas assez de temps d'apparition pour se faire une idée), Sasha Bordeaux dans une version très intrigante (personnage créé par Greg Rucka en 2000 dans la série Detective Comics).

Le lecteur éprouve quelques difficultés pour se sentir impliqué par l'intrigue. La recherche de Cheetah conduit Wonder Woman à se battre contre des créatures garou sans identité, puis à affronter une déité à usage unique sans grand intérêt. du coup, il se sent plus intéressé par les manigances de Sasha Bordeaux et par le degré d'implication d'Etta Candy. le pauvre village africain visité par Steve Trevor sent bon aussi le carton-pâte et les clichés d'une vision occidentale superficielle. le retour sur Themyscira peine à retenir l'attention parce que finalement cette fluctuation entre 2 versions, 2 historiques n'a pas beaucoup d'incidence sur Diana en tant qu'individu. Les retrouvailles entre Diana et Steve Trevor baignent dans un romantisme factice, avec un coucher de soleil sur l'océan en arrière-plan, et un dialogue manquant de coeur.

Greg Rucka revient à Wonder Woman après 15 ans. Il réussit à présenter une Diana en mode guerrière, sans être trop bourrine, ou obsédée par la paix, avec une consistance visuelle certaine, grâce à des dessins sérieux et impliqués de Liam Sharp. Néanmoins ce dernier ne sait pas toujours conserver une substance suffisante aux environnements, et la sensation d'immersion du lecteur varie en fonction des pages. le scénariste doit gérer une phase de transition assez hermétique pour les lecteurs occasionnels, assez anecdotique pour les lecteurs réguliers qui préféreraient passer rapidement à une histoire de fond.
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J'avais bien apprécié Wonder Woman Rebirth 1 même s'il présentait une énième Origin Story et j'avais hâte de lire la suite mais dès les premières pages, j'ai été complètement perdu au point de refermer le livre et de regarder sur la quatrième de couverture si je n'avais pas loupé des albums. Ce qui n'était pas le cas.

En effet, si le tome 1 laissait à penser que l'univers Rebirth serait un reboot des franchises, le tome 2 nous fait comprendre que non, DC maintient la continuité. Ainsi, tout ce qui s'est passé lors de l'époque News 52 (pour rappel, aussi appelée Renaissance en version française. Bravo Urban Comics) est pris en compte.

Alors que le tome 1 présentait les bases et laissait à penser qu'un nouvel arc narratif s'ouvrirait dans le tome suivant, on démarre ici sur une Diana en costume de Wonder Woman version News 52 complètement paumée (comme le lecteur) sur son identité et n'arrivant pas à démêler tous les passés et toutes les aventures qui lui remontent en mémoire. Cette partie est censée être la transition entre les deux versions de l'héroïne symbolisée notamment par le changement de costumes.

On s'envole ensuite dans une forêt tropicale à la recherche de Barbara Ann qu'on avait quittée humaine et nouvellement amie de Diana mais qui est maintenant Cheetah sous l'emprise d'un dieu maléfique, et ce depuis apparemment un certain moment. Puis débarque Trevor, et en même temps Etta maintenant haut-gradée discute avec la directrice de l'Argus dans sa cuisine. Cette directrice étant un agent double et parlant de phases d'un plan avec une boule métallique qui fait des images. Diana et Trevor s'embrassent sur une plage sous le soleil couchant mais Diana est triste car elle sait plus comment rentrer sur Themyscira... On n'y comprend rien !!!

Le lecteur essaie de s'accrocher au moindre petit détail pour essayer d'en saisir le contexte et comment, on en est arrivé là mais c'est trop compliqué. Il y a trop d'inconnues pour s'y retrouver et d'après ce que j'ai lu ailleurs, il semblerait que la lecture du run Wonder Woman Renaissance de Brian Azzarello, de Wonder Woman Déesse de la Guerre, ainsi que celles des premiers tomes de DC Rebirth et Superman Rebrith sont nécessaires la compréhension de cette histoire, ce qui fait quand même beaucoup pour un tome 2.

Côté illustrations, le dessin est très différent de celui de Nicola Scott dont le trait était doux, sympathique et collait bien à la personnalité de Diana alors qu'ici le trait, l'encrage et les couleurs sont agressifs.

Alors que Wonder Woman Rebirth Tome 1 repartait du début en présentant une nouvelle version des origines de l'héroïne, ce tome 2 demande beaucoup trop connaissances sur les arcs narratifs précédents au point que le lecteur est perdu et a du mal à sortir la tête de l'eau. Ainsi, s'il parait évident dans la BD franco-belge que le tome 2 d'une série soit la suite directe du premier, apparemment ce n'est pas tout le temps le cas chez l'oncle Sam.
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Je commencerai cette critique par des commentaires sur les graphismes, car en ouvrant les premières pages, de fortes interrogations me sont venues.
Liam Sharp succède à Nicola Scott dans les épisodes rassemblés de ce tome, et leurs styles diffèrent complètement et cela se voit immédiatement.
J'ai d'abord été surpris par la rugosité du premier chapitre, ce prologue signé également de Matthew Clark, alors qu'il n'est pas crédité sur les suivants. Je ne sais quelle fut la place de chacun, mais Wonder Woman apparait ici très masculine, avec des muscles saillants, une posture très rude, des cuisses carrées, des épaules très larges. On notera quelques soucis de proportions puisqu'elle parait trapue dans certains cases, alors qu'elle est sensé mesurer presque 1m90...! Son visage est très anguleux, bref sa morphologie a perdu toute sa féminité. Non que je tienne absolument à sexualiser Wonder Woman, mais lorsque le dessin dessert le personnage et même s'il s'agit d'une guerrière, je ne suis pas d'accord.
Dans les chapitres suivants, on change de nouveau de style, et seul Liam Sharp est crédité. Les dessins sont bien meilleurs et même si pour moi, les cases sont très chargées, non pas en détail, mais en encre, ce qui m' posé la question de l'utilité de la couleur. Et je trouverai ma réponse avec le cahier graphique de fin de tome. Les esquisses, crayonnés et autres essais en noir et blanc de Liam Sharp, se suffisent à eux mêmes. En effet, en comparant, je m'aperçois que la couleur est superflu à un point tel qu'elle étouffe, qu'elle alourdit le tout et rend extrêmement pesant et suffocant le travail du dessinateur. Bon il faudra reconnaitre que le genre sied bien à toutes les scènes se déroulant dans la jungle, étouffante, humide et oppressante...
Côté scénario, c'est très déstabilisant de suivre des épisodes qui se déroulent plusieurs années après ceux contenus dans le tome 1, surtout que Wonder Woman est en proie à des doutes quant à sa mémoire et ses souvenirs. Cela jette une confusion dans l'esprit du lecteur et même si l'on peut suivre l'intrigue concernant Cheetah, qui arrive là comme un cheveu sur la soupe, soit dit au passage, on a du mal à raccrocher les wagons du tome 1.
jusqu'au chapitre final qui va nous permettre d'être un peu moins paumés, mais guère moins...
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Après avoir découvert/redécouvert les origines de la princesse amazone dans le tome 1. On retrouve notre héroïne quelques années après son arrivée dans le monde des hommes. Sa quête, cette fois-ci, est de retrouver son chemin vers l'île de Themyscira.

J'ai encore une fois adoré me plonger dans l'univers de Wonder woman. Ce tome renvoie parfois à d'anciennes histoires de l'amazone mais cela ne perturbe pas du tout le lecteur qui commence sa lecture avec la série Rebirth. J'ai au contraire eu envie de lire tous ses comics.

La qualité graphique est toujours au rendez-vous. Que ça soit les personnages, les costumes ou les décors, tout est bien structuré et j'ai adoré le soucis du détail grâce auquel, on en a plein les yeux peu importe là où l'on pose notre regard. Parmi toutes les représentations de Wonder woman, celle de Rebirth est ma préférée et se rapproche le plus du style de dessin et colorisation que j'apprécie. J'ai donc fortement apprécié le graphisme de ce tome, sombre, net et précis.

L'histoire est passionnante et met en scène une Diana, plus humaine que super-héroïne. Sa confusion sur ses origines et sur son incapacité à se rendre sur son île, vont l'amener à tout remettre en question. En parallèle, de sombres desseins semblent se poursuivre dans le monde des hommes et Wonder woman se retrouve impliquée. Cette double intrigue, introduite dans ce tome m'a tenue en haleine du début jusqu'à la fin.

J'ai adoré ce tome 2 de la série Rebirth et mon coup de coeur pour le personnage est toujours d'actualité. Chaque lecture me permet de découvrir une nouvelle facette de sa personnalité. Mensonges introduit une intrigue pleine de mystères entre quête identitaire et sombres machinations.
Lien : https://lesinstantsvolesalav..
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critiques presse (2)
ActuaBD
15 novembre 2017
Un second acte aussi brillant que le précédent grâce à une vision actualisée et dynamique de l’univers de la célèbre amazone.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
04 octobre 2017
Wonder Woman repart vraiment de plus belle avec cette nouvelle ère ! Une équipe creative au top pour un personnage toujours aussi fascinant ! Une série à suivre sans hésiter un instant.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
_ Qui suis-je?
_ Tu es Diana, princesse, fille d'Hippolyte, dixième reine des Amazones.
_ Fort bien. Que suis-je?
_ Tu es beaucoup de choses pour beaucoup. Pacifiste et guerrière. Aspirante, pénitente. La véritable amie, la compagne dévouée, la personne de confiance, celle qui dit la vérité... et tu as été trompée.
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Merci à Emmanuel pour le montage et ClemB pour l'habillage sonore.
+ Lire la suite
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