Même ambiance que dans ''
L'ombre du vent'', même douce mélancolie, même parfum d'authenticité, même genre d'obscurs secrets. Je m'en réjoui puisque l'expérience avait été bonne la première fois. Cette fois-ci, j'ai même légèrement préféré l'histoire. Suivre le cheminement de David parmi les aléas de la vie fut très satisfaisant, de même que la confrontation avec Andreas Corelli, chaleureux au départ mais devenant de plus en plus inquiétant. J'anticipe positivement la suite de cet excellent cycle.
6 fois le mot même en quelques lignes... Ne vous en faites pas, le talent de
Carlos Ruiz Zafón est infiniment supérieur !
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