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Critique de xalatan
Un roman comme je les aime qui parle des femmes, de ce que la religion ou la société leur impose, de leur tentative de rébellion, de leurs souffrances, de la maternité.
Isra, d'origine palestinienne est mariée très jeune à un homme palestinien de New-York, elle rêvait d'amour et de liberté dans ce nouveau pays, mais elle s'y retrouve tout autant enfermée et sous la coupe de sa belle-mère. La lecture va l'aider à prendre conscience de qui elle est, mais la naissance de 4 filles, au lieu de l'héritier attendu, et la violence de son mari qui la bat, va l'amener à la dépression.
Le roman se lit très vite car le récit d'Isra est entrecoupé du récit de sa fille Deya, 18 ans après. C'est une autre génération mais confrontée quasiment aux mêmes problèmes d'émancipation. Deya va être amenée à confronter sa grand-mère, pétrie de traditions et de peurs, et va réussir à lui faire avouer les secrets de famille douloureux qui lui pèsent.
Ce qui est intéressant dans ce roman, c'est qu'il n'est pas manichéen, tout blanc ou tout noir, chaque personnage a souffert, ce qui explique, mais n'excuse pas, la violence de certains. Mais l'éducation donnée par la matriarche reste quand même à la source des malheurs à venir.
Isra, d'origine palestinienne est mariée très jeune à un homme palestinien de New-York, elle rêvait d'amour et de liberté dans ce nouveau pays, mais elle s'y retrouve tout autant enfermée et sous la coupe de sa belle-mère. La lecture va l'aider à prendre conscience de qui elle est, mais la naissance de 4 filles, au lieu de l'héritier attendu, et la violence de son mari qui la bat, va l'amener à la dépression.
Le roman se lit très vite car le récit d'Isra est entrecoupé du récit de sa fille Deya, 18 ans après. C'est une autre génération mais confrontée quasiment aux mêmes problèmes d'émancipation. Deya va être amenée à confronter sa grand-mère, pétrie de traditions et de peurs, et va réussir à lui faire avouer les secrets de famille douloureux qui lui pèsent.
Ce qui est intéressant dans ce roman, c'est qu'il n'est pas manichéen, tout blanc ou tout noir, chaque personnage a souffert, ce qui explique, mais n'excuse pas, la violence de certains. Mais l'éducation donnée par la matriarche reste quand même à la source des malheurs à venir.
