Il est tentant de vouloir comparer lowreader à doggybags. Comme pour ce dernier, on fonce tête baissée vers des récits grattent, ecorchent ou pent carrément. Les parties narratives viennent ralentir agréablement le rythme et apportent une touche de connaissances fort appréciable. Toutefois comme pour doggybags les récits et donc les plaisirs sont parfois inégaux... mais c'est ce qui fait le charme de ces albums, la diversité.
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