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Critique de Sombreviolette
Charlie Rune nous offre une dystopie royale assez déconcertante dans le premier tome de cette duologie. Des personnages très bien construits, un scénario un peu long et une intrigue intéressante. Toutefois, c'est avec un avis mitigé que je ressors de ma lecture.
Malgré le fait que l'univers de la royauté soit celui que je préfère en temps normal, je ne suis malheureusement pas parvenu à m'y attacher dans ce roman. J'avais l'impression qu'on me racontait une histoire sombre, d'injustice et de quête de pouvoir, mais pas de la vivre. C'est dommage, parce que la plume de l'autrice est beaucoup trop dans le « tell » et moins dans le « show ».
On voit bien que les personnages ont tous été très bien travaillés, cependant, à force de nous raconter leur vie et leur évolution, leur caractère et les liens qu'ils ont avec d'autres protagonistes, sans vraiment nous le montrer à travers divers scénarios, on a du mal à y croire vraiment, car on ne le « voit » pas.
Ava aurait pu être un personnage que j'aurais adoré et qui m'aurait beaucoup touché, néanmoins, je n'ai vu aucune évolution en ce qui concerne sa fragilité au cours de l'histoire.
Le scénario de ce roman est très long, surtout quand on a l'impression qu'on nous raconte l'histoire plutôt que de la lire. Alors le manque d'évolution d'Ava face à la cruauté du roi, m'a un peu refroidi au fil des chapitres. Je n'attendais pas qu'elle devienne une « bad girl » ou une vraie rebelle en un seul tome, mais la résignation dont elle fait preuve face à son père ne fait pas rêver et devient même lassante quand on sait depuis combien de temps ça dure.
Toutefois, il est impossible de nier que l'intrigue de cette histoire est très intéressante. Dans La valse des prétendants, Ava va essayer de trouver un prince idéal parmi ceux que lui impose son père. Et par « prince idéal », elle attend de lui qu'il soit assez bon et ouvert d'esprit pour sauver son peuple à la mort de son paternel. le reste, comme son bonheur, elle préfère ne pas y penser.
L'autrice m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page de ce premier tome et j'avoue que j'ai hâte de lire la suite de cette duologie. Et de découvrir avec qui aura lieu le fameux ennemies to lovers dont on m'a parlé…
Malgré le fait que l'univers de la royauté soit celui que je préfère en temps normal, je ne suis malheureusement pas parvenu à m'y attacher dans ce roman. J'avais l'impression qu'on me racontait une histoire sombre, d'injustice et de quête de pouvoir, mais pas de la vivre. C'est dommage, parce que la plume de l'autrice est beaucoup trop dans le « tell » et moins dans le « show ».
On voit bien que les personnages ont tous été très bien travaillés, cependant, à force de nous raconter leur vie et leur évolution, leur caractère et les liens qu'ils ont avec d'autres protagonistes, sans vraiment nous le montrer à travers divers scénarios, on a du mal à y croire vraiment, car on ne le « voit » pas.
Ava aurait pu être un personnage que j'aurais adoré et qui m'aurait beaucoup touché, néanmoins, je n'ai vu aucune évolution en ce qui concerne sa fragilité au cours de l'histoire.
Le scénario de ce roman est très long, surtout quand on a l'impression qu'on nous raconte l'histoire plutôt que de la lire. Alors le manque d'évolution d'Ava face à la cruauté du roi, m'a un peu refroidi au fil des chapitres. Je n'attendais pas qu'elle devienne une « bad girl » ou une vraie rebelle en un seul tome, mais la résignation dont elle fait preuve face à son père ne fait pas rêver et devient même lassante quand on sait depuis combien de temps ça dure.
Toutefois, il est impossible de nier que l'intrigue de cette histoire est très intéressante. Dans La valse des prétendants, Ava va essayer de trouver un prince idéal parmi ceux que lui impose son père. Et par « prince idéal », elle attend de lui qu'il soit assez bon et ouvert d'esprit pour sauver son peuple à la mort de son paternel. le reste, comme son bonheur, elle préfère ne pas y penser.
L'autrice m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page de ce premier tome et j'avoue que j'ai hâte de lire la suite de cette duologie. Et de découvrir avec qui aura lieu le fameux ennemies to lovers dont on m'a parlé…
