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Critique de Onirique13
Tout d'abord, je remercie Babelio et les Éditions Zinédi pour cette lecture.
Durant l'opération Masse Critique, je n'avais pas remarqué que ce roman faisait partie intégrante d'une saga famille puisqu'il en est le troisième tome. J'ai donc été surprise en lisant cette information sur le courrier que m'a adressé les Éditions Zinédi (petite attention à laquelle je suis particulièrement sensible).
Les tomes peuvent être lus indépendamment mais, si vous suivez mes critiques, vous savez que j'aime faire les choses dans l'ordre.
Malheureusement, en raison du délai imposé de trente jours, je ne pouvais décemment pas lire trois volumes en si peu de temps (surtout avec un déménagement approchant). Je me suis donc résignée à lire ce troisième tome sans avoir de point de comparaison possible avec les deux précédents et sans connaître le contexte général de l'histoire.
Deuxième élément qui m'a surpris : un petit erratum page 96, chapitre VIII, lignes 5 et 6. Un petit papier est glissé au sein du roman pour nous informer de ce qui doit réellement être lu. C'est la première fois que je vois cela dans un roman.
Concernant le roman en tant que tel, je ne m'attendais pas à avoir une enquête policière ou plutôt militaire en vue du résumé. Ce genre littéraire n'est pas celui que j'affectionne le plus et pourtant, j'ai été emportée à la lecture de celle-ci. J'imagine que cela prouve le talent du romancier.
Cet ouvrage se découpe en deux parties : l'une se déroulant dans le passé et l'autre dans le présent. À titre personnel, j'ai trouvé que la partie sur le passé était davantage aboutie, mieux exploitée. J'ai eu le sentiment que la partie sur le présent était pressée, moins bien détaillée. Une nouvelle fois, en vue du résumé, j'aurais pensé que cela soit l'inverse et aurait préféré que la partie sur le présent soit davantage exploitée.
Toutefois, l'histoire est originale et plutôt bien ficelée. L'auteur, Alexis Ruset, a une plume agréable. Je lirais peut-être les deux premiers tomes si l'occasion se présente sans pour autant les ajouter à ma wish-list.
Durant l'opération Masse Critique, je n'avais pas remarqué que ce roman faisait partie intégrante d'une saga famille puisqu'il en est le troisième tome. J'ai donc été surprise en lisant cette information sur le courrier que m'a adressé les Éditions Zinédi (petite attention à laquelle je suis particulièrement sensible).
Les tomes peuvent être lus indépendamment mais, si vous suivez mes critiques, vous savez que j'aime faire les choses dans l'ordre.
Malheureusement, en raison du délai imposé de trente jours, je ne pouvais décemment pas lire trois volumes en si peu de temps (surtout avec un déménagement approchant). Je me suis donc résignée à lire ce troisième tome sans avoir de point de comparaison possible avec les deux précédents et sans connaître le contexte général de l'histoire.
Deuxième élément qui m'a surpris : un petit erratum page 96, chapitre VIII, lignes 5 et 6. Un petit papier est glissé au sein du roman pour nous informer de ce qui doit réellement être lu. C'est la première fois que je vois cela dans un roman.
Concernant le roman en tant que tel, je ne m'attendais pas à avoir une enquête policière ou plutôt militaire en vue du résumé. Ce genre littéraire n'est pas celui que j'affectionne le plus et pourtant, j'ai été emportée à la lecture de celle-ci. J'imagine que cela prouve le talent du romancier.
Cet ouvrage se découpe en deux parties : l'une se déroulant dans le passé et l'autre dans le présent. À titre personnel, j'ai trouvé que la partie sur le passé était davantage aboutie, mieux exploitée. J'ai eu le sentiment que la partie sur le présent était pressée, moins bien détaillée. Une nouvelle fois, en vue du résumé, j'aurais pensé que cela soit l'inverse et aurait préféré que la partie sur le présent soit davantage exploitée.
Toutefois, l'histoire est originale et plutôt bien ficelée. L'auteur, Alexis Ruset, a une plume agréable. Je lirais peut-être les deux premiers tomes si l'occasion se présente sans pour autant les ajouter à ma wish-list.
