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Critique de Noctenbule
On attendait depuis un moment la fin. Rien de très surprenant puisque Saburouta nous avait déjà annoncé un happy end. Elle avait juste fait trainer les choses en longueur et en larmoiement. On ne pourra pas dire que l'on ne s'est pas ennuyée par moment car tout prenait des dimensions trop dans l'auto-apitoiement. D'ailleurs, j'ai sauté des tomes pour arriver à la fin car ces séances de Calimero n'apportent absolument rien au récit. La mangaka clôture comme il se faut sa série en allant droit au but enfin. Il a fallu tout de même 10 tomes pour ça. Yuzu dit qu'elle aime Mei et qu'elle veut l'épouser. Mei souffre de l'absence de Yuzu dans sa vie et accepte. Et hop elles se marient et c'est enfin terminer. On ne cherche pas la vraisemblance car rien ne l'était depuis le début. le mariage avec une personne du même sexe est encore interdit au Japon. Et au niveau sociétale, nous en sommes à des années lumières de l'acceptation en société. C'est juste le genre qui cartonne. Allez comprendre la logique. Graphiquement, les filles sont vraiment sublimes et assez sexualisées. Par contre, à un moment elles se ressemblent assez. Pour le côté scène d'amour, vous aurez le droit à quelques chastes baisers. Ce n'est pas hentaï non plus. Pour comprendre le récit globale, lire les deux premiers et ce dernier cela suffit largement.
