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Critique de LiliGalipette


Miyamoto Usagi décide de retourner dans le village de son enfance. « Je suis las de ma vie de vagabond. Je veux juste vivre une vie tranquille chez moi. » (p. 109) Il pourra honorer la tombe de son père et retrouver Mariko, son amour de jeunesse. Mais le chemin du ronin aux longues oreilles est comme toujours semé d'embûches. Outre les bandits et les gredins habituels, Miyamoto croise des démons, fantômes, ogres et autres créatures du folklore japonais. « Même les obakemonos devraient être assez sensés pour ne pas attaquer un samouraï » (p. 61) Mais face à l'une des meilleures lames du Japon, les antagonistes ont peu de chances d'en réchapper !

Stan Sakai déploie les péripéties de son héros avec brio. Les échos entre les albums précédents sont de plus en plus nombreux. C'est en fait une gigantesque tapisserie que tisse l'auteur, ou un paravent monumental qu'il peint. Je n'ai pas fini de suivre avec plaisir les aventures de Miyamoto Usagi. D'autant plus quand c'est lui qui les relate à des enfants, le soir auprès du feu. « Après le dîner, je vous raconterai la fois où j'ai rencontré l'infâme vagabond au fromage fondu ! » (p. 78)
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