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Critique de morrigan
De Fénelon
Édité chez J. de Gigord en 1923
Première édition (toutes éditions confondues) en 1699
Depuis des années, le siège de Troie s'est achevé. Pourtant Ulysse ère toujours sur les mers, incapable de rejoindre Ithaque. Télémaque, jeune homme plein d'espoir et d'énergie est parti à sa recherche. Athéna, déesse de la sagesse, l'accompagne sous les traits de Mentor, ancien compagnon d'Ulysse restait au pays pour veiller sur l'éducation de son fils.
Comme son père avant lui, Télémaque va se retrouver bloquer sur l'île de Calypso, à qui il va raconter son aventure…
Un grand classique à découvrir
Nous avions entendu parler de ce livre pendant nos études, et depuis, nous le cherchions. Nous l'avons trouver par hasard sur une braderie ^^. Il faut savoir que Fénelon a écrit ce livre dans un but pédagogique,
Nous suivons donc Télémaque, donc le caractère évolue au fil du récit, mûrit grâce aux conseils de Mentor. C'est un personnage à la fois central mais relativement passif, probablement l'image de ce voulait trouver Fénelon chez son élève. Mentor est l'incarnation de la sagesse (au sens propre comme au figurée, puisqu'il s'agit d'Athéna qui a pris sa forme). C'est lui la véritable voie de ce roman, même si Télémaque en est le narrateur dans la première partie. En effet, Télémaque ne fait rappeler à quel point Mentor est important pour lui et comment il ne s'en serait pas sorti sans lui. Dans la seconde partie du roman, une fois partis de chez Calypso, les deux protagonistes vont être parfois séparé. Et au total nous passons plus de temps avec Mentor qu'avec Télémaque (enfin, nous n'avons pas compter les pages, mais c'est l'impression globale qu'on en a eu).
Le récit est assez inégal. Par moment, il se lit vraiment facilement, ce sont les aventures qui priment. Puis, soudain, l'aspect didactique reprend le dessus, et nous avons droit à d'interminable monologue de Mentor qui explique aux différents protagonistes comment régler leur État. Ces moment sont vraiment longs, mais quand, comme nous, vous aimez l'Histoire, ils vous donnent un bon aspect des mentalités des dirigeants au XVIIème siècle.
Le livre en lui même… Ah… Quel bonheur de tenir un vieux livre dans ces mains, de faire attention à toutes ces pages qui se sauvent, de grogner en voyant que l'ancien propriétaire a écrit dessus ^^.
Édité chez J. de Gigord en 1923
Première édition (toutes éditions confondues) en 1699
Depuis des années, le siège de Troie s'est achevé. Pourtant Ulysse ère toujours sur les mers, incapable de rejoindre Ithaque. Télémaque, jeune homme plein d'espoir et d'énergie est parti à sa recherche. Athéna, déesse de la sagesse, l'accompagne sous les traits de Mentor, ancien compagnon d'Ulysse restait au pays pour veiller sur l'éducation de son fils.
Comme son père avant lui, Télémaque va se retrouver bloquer sur l'île de Calypso, à qui il va raconter son aventure…
Un grand classique à découvrir
Nous avions entendu parler de ce livre pendant nos études, et depuis, nous le cherchions. Nous l'avons trouver par hasard sur une braderie ^^. Il faut savoir que Fénelon a écrit ce livre dans un but pédagogique,
Nous suivons donc Télémaque, donc le caractère évolue au fil du récit, mûrit grâce aux conseils de Mentor. C'est un personnage à la fois central mais relativement passif, probablement l'image de ce voulait trouver Fénelon chez son élève. Mentor est l'incarnation de la sagesse (au sens propre comme au figurée, puisqu'il s'agit d'Athéna qui a pris sa forme). C'est lui la véritable voie de ce roman, même si Télémaque en est le narrateur dans la première partie. En effet, Télémaque ne fait rappeler à quel point Mentor est important pour lui et comment il ne s'en serait pas sorti sans lui. Dans la seconde partie du roman, une fois partis de chez Calypso, les deux protagonistes vont être parfois séparé. Et au total nous passons plus de temps avec Mentor qu'avec Télémaque (enfin, nous n'avons pas compter les pages, mais c'est l'impression globale qu'on en a eu).
Le récit est assez inégal. Par moment, il se lit vraiment facilement, ce sont les aventures qui priment. Puis, soudain, l'aspect didactique reprend le dessus, et nous avons droit à d'interminable monologue de Mentor qui explique aux différents protagonistes comment régler leur État. Ces moment sont vraiment longs, mais quand, comme nous, vous aimez l'Histoire, ils vous donnent un bon aspect des mentalités des dirigeants au XVIIème siècle.
Le livre en lui même… Ah… Quel bonheur de tenir un vieux livre dans ces mains, de faire attention à toutes ces pages qui se sauvent, de grogner en voyant que l'ancien propriétaire a écrit dessus ^^.
