Le rapt, la mort et le Marseillais ne me laissera pas un souvenir impérissable : l'on quitte Andorre pour l'Italie, où un étrange enlèvement de nourrisson et la mort d'un vieil homme semblent liés...Même si seul le Marseillais est convaincu d'une telle hypothèse.
L'intrigue est menée rapidement, mais ne happe pas le lecteur ; c'est surtout la narration, et le narrateur décrivant mécaniquement son environnement qui m'ont découragée ; le style n'est vraiment pas le point fort de ce roman, tout comme les personnages pas vraiment attachants (j'ai à peine esquisser un sourire aux chamailleries entre le Marseillais et le narrateur).
Ajoutons à cela une grande propension à décrire les femmes d'après leur tour de poitrine ou de la classe avec laquelle elles portent leur âge...J'aurais probablement passé mon chemin si je n'avais pas été curieuse de découvrir un lecteur andorran pour le challenge globe-trotter. Espérons que ce petit pays a d'autres représentants que
Albert Salvado !
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