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Critique de Agaberte
Tout d'abord, je remercie Babelio et les Humanoïdes Associés pour cette découverte.
Ninja malgré moi, dessinée par Arianna Florean et scénarisée par Ricardo et sa fille Adara Sanchez, est surtout imaginée par cette-dernière.
On y suit Rena, ado ultra timide et adepte des jeux vidéos de ninja, qui doit dépasser ses angoisses. le hasard met sur sa route un tract pour une école de ninja, ce qui pourrait peut-être être la solution à son problème ! Ou peut-être que cela lui créera plus de problèmes... Elle doit aussi composer avec sa mère, plus concentrée sur la programmation d'une IA que sur sa fille.
L'histoire en elle-même fait 110 pages, et est accompagnée de la genèse de sa création, ainsi que de certains croquis préparatoires (et du dessin initial d'Adara Sanchez). Outre le lien père-fille dans la création, je trouve important de savoir que cette histoire est parue sous le titre "Shy Ninja", soit "Ninja timide" qui convient mieux à l'histoire que "Ninja malgré moi".
Ninja malgré moi ne révolutionne pas le monde de la BD, mais c'est une belle petite histoire, intéressante et qui garde en haleine. Je regrette toutefois la fin que je trouve un peu abrupte (mais je suis habituée à de plus longs récits), et la légère incompréhension que j'ai ressenti aux premières pages et que je ne comprends toujours pas en relisant.
Je ne commenterai pas les illustrations, n'y connaissant rien du tout. Je laisse ça aux spécialistes. J'en dirai juste que je les ai trouvé sympa et efficaces.
Donc pour résumer, une découverte intéressante et une belle histoire dans laquelle se plonger !
Ninja malgré moi, dessinée par Arianna Florean et scénarisée par Ricardo et sa fille Adara Sanchez, est surtout imaginée par cette-dernière.
On y suit Rena, ado ultra timide et adepte des jeux vidéos de ninja, qui doit dépasser ses angoisses. le hasard met sur sa route un tract pour une école de ninja, ce qui pourrait peut-être être la solution à son problème ! Ou peut-être que cela lui créera plus de problèmes... Elle doit aussi composer avec sa mère, plus concentrée sur la programmation d'une IA que sur sa fille.
L'histoire en elle-même fait 110 pages, et est accompagnée de la genèse de sa création, ainsi que de certains croquis préparatoires (et du dessin initial d'Adara Sanchez). Outre le lien père-fille dans la création, je trouve important de savoir que cette histoire est parue sous le titre "Shy Ninja", soit "Ninja timide" qui convient mieux à l'histoire que "Ninja malgré moi".
Ninja malgré moi ne révolutionne pas le monde de la BD, mais c'est une belle petite histoire, intéressante et qui garde en haleine. Je regrette toutefois la fin que je trouve un peu abrupte (mais je suis habituée à de plus longs récits), et la légère incompréhension que j'ai ressenti aux premières pages et que je ne comprends toujours pas en relisant.
Je ne commenterai pas les illustrations, n'y connaissant rien du tout. Je laisse ça aux spécialistes. J'en dirai juste que je les ai trouvé sympa et efficaces.
Donc pour résumer, une découverte intéressante et une belle histoire dans laquelle se plonger !
