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Critique de EvlyneLeraut
Soleil Blanc est un roman atypique. Ésotérique, troublant, ténébreux. Ce roman est d'ombre et de lumière.
Sylvain vient de perdre son amie. Comment peut-il affronter son deuil, lui qui pressent des forces occultes dans son antre ? Les évènements enflent crescendo. Il se sent dérouté. Ses rêves lacérés par un fantôme, le double cornélien de son amie.
Mais les troubles insistants perturbent Sylvain. Il va jusqu'à enlever la tapisserie d'une pièce tant il imagine des signes cachés sur les murs.
Chercher des preuves, jusqu'à trouver dans une pièce abandonnée des livres symboliques. Âmes sensibles s'abstenir !
Une voisine lui rend visite. Elle quête de ses nouvelles. Mais on ressent un côté sombre, machiavélique. La trame se resserre. On devine ce qui dépasse tout entendement. Il vaut absolument être sûr du nom du fantôme. Jusqu'à faire appel à un médium.
Le roman est tumultueux. Quelque peu angoissante. L'écriture gagne la palme.
"Soleil Blanc" est un livre de pleine lune. Empreint d'un magnétisme avéré, doué d'ésotérisme, on ne sort pas indemne d'une telle lecture.
Sylvain est un homme en quête de son amie disparue. Peut-on aller jusqu'à quêter une suite dans l'entre deux-mondes ? Jusqu'à cet abîme puissamment symbolique.
C'est un livre sur la perte de l'être cher. Sur les prononciations de la mort. Les rituels, dont seuls les férus de l'étrange trouveront leur alter-ego. Publié par les Éditions Le Poisson Volant
Sylvain vient de perdre son amie. Comment peut-il affronter son deuil, lui qui pressent des forces occultes dans son antre ? Les évènements enflent crescendo. Il se sent dérouté. Ses rêves lacérés par un fantôme, le double cornélien de son amie.
Mais les troubles insistants perturbent Sylvain. Il va jusqu'à enlever la tapisserie d'une pièce tant il imagine des signes cachés sur les murs.
Chercher des preuves, jusqu'à trouver dans une pièce abandonnée des livres symboliques. Âmes sensibles s'abstenir !
Une voisine lui rend visite. Elle quête de ses nouvelles. Mais on ressent un côté sombre, machiavélique. La trame se resserre. On devine ce qui dépasse tout entendement. Il vaut absolument être sûr du nom du fantôme. Jusqu'à faire appel à un médium.
Le roman est tumultueux. Quelque peu angoissante. L'écriture gagne la palme.
"Soleil Blanc" est un livre de pleine lune. Empreint d'un magnétisme avéré, doué d'ésotérisme, on ne sort pas indemne d'une telle lecture.
Sylvain est un homme en quête de son amie disparue. Peut-on aller jusqu'à quêter une suite dans l'entre deux-mondes ? Jusqu'à cet abîme puissamment symbolique.
C'est un livre sur la perte de l'être cher. Sur les prononciations de la mort. Les rituels, dont seuls les férus de l'étrange trouveront leur alter-ego. Publié par les Éditions Le Poisson Volant
