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Lisa Sandlin
1. LES SAMARITAINS DU BAYOU
2. Les Oiseaux des Marais
C'EST CHAGRIN
Cher ! On est en Pays Cajun. Pas tout à fait la Louisiane. Dans un bout du Texas Est Extrême, plein de lacs sans cowboys ni pétards. Curieux ce grand état, fait de beaucoup de sable, de goudron et de poussière, mais ses frontières sont des rivières, Rio Grande, Rivière Rouge, et pour finir la Sabine.
Ce doit être cette dernière sous un autre nom ainsi que je crois la ville de Beaumont. Pourquoi Beaumont ? Cela me vient comme ça, surement de l'inconscient. Une partie de ma maison s'y établit ainsi qu'à Liberty dès la fin de la guerre de Sécession. Choix des noms ? C'était des Franc-maçons.
Le paysage est assez bien campé même si pas tout à fait épicé ni fumé, les personnages sont faits de chair et vite très chers, la musique est d'accordéon plus banjo, tempo bolero. Delpha et Tom, anciens louzeurs tempérament gagneurs déminent une succesion de petites affaires que l'auteure intrique dans une principale. Jusqu'ici tout va bien.
Lisa-Sandlin. Imaginez vous Lou Harris, une autre toute belle de la septantaine aux cheveux brillants et d'argent. Et comme Kent-Anderson, elle commet très peu de bouquins (qu'elle se dépêche si on veut un troisième). Elle semble avoir bien planté et très étudié son style.
Comme bien souvent quand l'auteur s'applique il oublie qu'il nous fait un polar et ne s'en rappelle qu'à la fin. Alors il se précipite pour rester dans le format. Et il termine avec du mal ficelé, ici je dirais baclé. Ce livre fait plus de 300 pages, plus d'une cinquantaine de trop. C'est toute la fin qui ne me va pas.
Racoon ! Arrête toi au chapître trente sept, cela ira, sinon c'est chagrin.
NOTA PAS BENE
La traduction, ce n'est ni Catherine Cheval, ni Bonfils, ni Michalski
Le tître, l'original est tout aussi bien.
Critique de JeanDoux
Lisa Sandlin
1. LES SAMARITAINS DU BAYOU
2. Les Oiseaux des Marais
C'EST CHAGRIN
Cher ! On est en Pays Cajun. Pas tout à fait la Louisiane. Dans un bout du Texas Est Extrême, plein de lacs sans cowboys ni pétards. Curieux ce grand état, fait de beaucoup de sable, de goudron et de poussière, mais ses frontières sont des rivières, Rio Grande, Rivière Rouge, et pour finir la Sabine.
Ce doit être cette dernière sous un autre nom ainsi que je crois la ville de Beaumont. Pourquoi Beaumont ? Cela me vient comme ça, surement de l'inconscient. Une partie de ma maison s'y établit ainsi qu'à Liberty dès la fin de la guerre de Sécession. Choix des noms ? C'était des Franc-maçons.
Le paysage est assez bien campé même si pas tout à fait épicé ni fumé, les personnages sont faits de chair et vite très chers, la musique est d'accordéon plus banjo, tempo bolero. Delpha et Tom, anciens louzeurs tempérament gagneurs déminent une succesion de petites affaires que l'auteure intrique dans une principale. Jusqu'ici tout va bien.
Lisa-Sandlin. Imaginez vous Lou Harris, une autre toute belle de la septantaine aux cheveux brillants et d'argent. Et comme Kent-Anderson, elle commet très peu de bouquins (qu'elle se dépêche si on veut un troisième). Elle semble avoir bien planté et très étudié son style.
Comme bien souvent quand l'auteur s'applique il oublie qu'il nous fait un polar et ne s'en rappelle qu'à la fin. Alors il se précipite pour rester dans le format. Et il termine avec du mal ficelé, ici je dirais baclé. Ce livre fait plus de 300 pages, plus d'une cinquantaine de trop. C'est toute la fin qui ne me va pas.
Racoon ! Arrête toi au chapître trente sept, cela ira, sinon c'est chagrin.
NOTA PAS BENE
La traduction, ce n'est ni Catherine Cheval, ni Bonfils, ni Michalski
Le tître, l'original est tout aussi bien.
