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Critique de LaLunatheque
Cela faisait longtemps que je voulais lire le Sorceleur, d'abord parce que je le voyais partout, puis ensuite parce que je voulais voir la série. Je l'ai laissé traîner longtemps dans ma bibliothèque et l'ai enfin lu ce novembre.
J'ai apprécié l'originalité du récit. En effet nous ne suivons pas une histoire linéaire avec rebondissements et suspens. Nous suivons le cheminement de Geralt de Riv à travers ce monde, ses rencontres et ses aventures, sous forme de nouvelles qui peuvent sembler indépendantes les unes des autres. Elles sont entrecoupées de moments présents qui eux suivent une linéarité dans le temps et l'histoire. Il ne faut donc pas s'attendre à un récit de fantasy traditionnel, ce qui au début m'a quelque peu dérouté.
J'ai vraiment bien aimé les nombreuses références et réécritures des contes traditionnels qui se mêlaient aux mythes et légendes slaves qui parfois étaient tournés en dérision. Néanmoins, j'aurai vraiment eu besoin d'un glossaire pour m'y retrouver.
Bref, c'est une lecture agréable et originale mais qui n'appelle pas le suspens. C'est le genre de récit initiatique sur toile imaginaire, parsemé de petites leçons de philosophie à la manière des contes d'autrefois, comme en témoignent ces quelques citations...
« Les gens [...] aiment bien inventer des monstres et des monstruosités. Ça leur donne l'impression d'être moins monstrueux eux-mêmes [...] Alors ils se sentent le coeur plus léger. Et ils ont moins de mal à vivre. »
« C'est vous les hommes qui haïssez tout ce qui n'est pas comme vous. »
« La terre vous paie un lourd tribut, un tribut sanglant [...] Vous arrachez de force ses trésors. »
J'ai apprécié l'originalité du récit. En effet nous ne suivons pas une histoire linéaire avec rebondissements et suspens. Nous suivons le cheminement de Geralt de Riv à travers ce monde, ses rencontres et ses aventures, sous forme de nouvelles qui peuvent sembler indépendantes les unes des autres. Elles sont entrecoupées de moments présents qui eux suivent une linéarité dans le temps et l'histoire. Il ne faut donc pas s'attendre à un récit de fantasy traditionnel, ce qui au début m'a quelque peu dérouté.
J'ai vraiment bien aimé les nombreuses références et réécritures des contes traditionnels qui se mêlaient aux mythes et légendes slaves qui parfois étaient tournés en dérision. Néanmoins, j'aurai vraiment eu besoin d'un glossaire pour m'y retrouver.
Bref, c'est une lecture agréable et originale mais qui n'appelle pas le suspens. C'est le genre de récit initiatique sur toile imaginaire, parsemé de petites leçons de philosophie à la manière des contes d'autrefois, comme en témoignent ces quelques citations...
« Les gens [...] aiment bien inventer des monstres et des monstruosités. Ça leur donne l'impression d'être moins monstrueux eux-mêmes [...] Alors ils se sentent le coeur plus léger. Et ils ont moins de mal à vivre. »
« C'est vous les hommes qui haïssez tout ce qui n'est pas comme vous. »
« La terre vous paie un lourd tribut, un tribut sanglant [...] Vous arrachez de force ses trésors. »
