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Critique de sarbae
C'est un ensemble de nouvelles plus ou moins liées, d'un univers sombre et unique. Aucun personnage n'est profondément développé sur ce premier tome ; mais cela participe à son mystère.
le Sorceleur nous apprend vite son histoire : c'est un mercenaire, mutant, au caractère changeant et laconique. Son association avec le troubadour Jaskier fait ressortir les traits de Geralt de Riv. Il est dommage que cet ami ne fasse son entrée que dans les dernières nouvelles.
Avant cela, le sorceleur parcourt les régions avec sa jument, et croise parfois d'étranges rencontres. Des personnages rappellent ainsi beaucoup les univers des contes, tout comme l'ambiance.
le style de l'auteur, aussi, participe à notre départ pour cette virée fantastique. Pour un livre sur les monstres, leur détail est fourni avec rythme ; pour un ouvrage plutôt sanglant, les combats sont épiques. Les scènes mémorables ; certains choix scénaristiques restent flous, mais l'ensemble se lit tellement vite.
Pour ce recueil de nouvelles, c'est « la voix de la raison » qui est censée faire un fil conducteur. Quelques autres se retrouvent temporellement liées à celle-ci. Mais il en résulte comme un chapitrage décousu, qui aurait pu se faire en un seul roman. Mais je continuerai aisément l'entière série.
le Sorceleur nous apprend vite son histoire : c'est un mercenaire, mutant, au caractère changeant et laconique. Son association avec le troubadour Jaskier fait ressortir les traits de Geralt de Riv. Il est dommage que cet ami ne fasse son entrée que dans les dernières nouvelles.
Avant cela, le sorceleur parcourt les régions avec sa jument, et croise parfois d'étranges rencontres. Des personnages rappellent ainsi beaucoup les univers des contes, tout comme l'ambiance.
le style de l'auteur, aussi, participe à notre départ pour cette virée fantastique. Pour un livre sur les monstres, leur détail est fourni avec rythme ; pour un ouvrage plutôt sanglant, les combats sont épiques. Les scènes mémorables ; certains choix scénaristiques restent flous, mais l'ensemble se lit tellement vite.
Pour ce recueil de nouvelles, c'est « la voix de la raison » qui est censée faire un fil conducteur. Quelques autres se retrouvent temporellement liées à celle-ci. Mais il en résulte comme un chapitrage décousu, qui aurait pu se faire en un seul roman. Mais je continuerai aisément l'entière série.
