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Critique de Maxime4369
Après deux tomes initiatiques, ce troisième opus est le premier roman de la série.
Ce roman est une bonne surprise après deux tomes médiocres. le récit suit directement les deux dernière nouvelles de l'Épée de Providence et se consacre à l'éducation de Ciri. Tout d'abord à Kaer Morhen, où les Sorceleurs lui enseignent leur art et ensuite avec Yennefer pour l'enseignement de la magie. le sens aiguë de la narration de l'auteur lui permet de travailler la psychologie des personnages, qui est pour moi l'aspect le plus réussi. Ce roman est très féministe, notamment la partie entre Ciri et Yennefer. le racisme est également une grande thématique (entre humains et non-humains).
Le récit tente de prendre de l'ampleur avec une plus grande exploration du contexte géopolitique entre les Royaumes, désormais unis, d'un côté et Niflgaard de l'autre. Toutefois, ce point reste un échec : on n'en sait toujours pas plus.
Ce tome reste encore très introductif, et on peut le reprocher vu qu'il y a eu deux tomes avant.
La principale critique que je ferai, est qu'il serait temps d'entrer un peu plus dans le vif du sujet, s'agissant d'un troisième opus. Ensuite, bien qu'il s'agisse d'un roman, nous sommes encore dans un style qui ressemble à un recueil de nouvelles avec de longs chapitres sans forcément de liens clairs entre eux.
Je tiens à préciser qu'il est très important de lire les deux recueils de nouvelles avant de commencer ce roman pour bien comprendre car l'auteur prend pour acquis certains éléments qui apparaissent dans l'Épée de Providence et le Dernier Voeu.
Ce roman est une bonne surprise après deux tomes médiocres. le récit suit directement les deux dernière nouvelles de l'Épée de Providence et se consacre à l'éducation de Ciri. Tout d'abord à Kaer Morhen, où les Sorceleurs lui enseignent leur art et ensuite avec Yennefer pour l'enseignement de la magie. le sens aiguë de la narration de l'auteur lui permet de travailler la psychologie des personnages, qui est pour moi l'aspect le plus réussi. Ce roman est très féministe, notamment la partie entre Ciri et Yennefer. le racisme est également une grande thématique (entre humains et non-humains).
Le récit tente de prendre de l'ampleur avec une plus grande exploration du contexte géopolitique entre les Royaumes, désormais unis, d'un côté et Niflgaard de l'autre. Toutefois, ce point reste un échec : on n'en sait toujours pas plus.
Ce tome reste encore très introductif, et on peut le reprocher vu qu'il y a eu deux tomes avant.
La principale critique que je ferai, est qu'il serait temps d'entrer un peu plus dans le vif du sujet, s'agissant d'un troisième opus. Ensuite, bien qu'il s'agisse d'un roman, nous sommes encore dans un style qui ressemble à un recueil de nouvelles avec de longs chapitres sans forcément de liens clairs entre eux.
Je tiens à préciser qu'il est très important de lire les deux recueils de nouvelles avant de commencer ce roman pour bien comprendre car l'auteur prend pour acquis certains éléments qui apparaissent dans l'Épée de Providence et le Dernier Voeu.
