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Critique de fnitter
Annabelle est éditrice et se voit contrainte de travailler avec John, auteur de littérature érotique BDSM. Ce qui commence comme une relation professionnelle bascule peu à peu dans une relation plus ambiguë, avant de tomber franchement dans le dominant dominé.
ça commence comme du très gentil texte pour maman moderne. Limite gnangnan. Pourtant paru après, 50 nuances on réexplique le BDSM au lecteur. Mais qui en 2015 (ou 2020) ne sait pas encore ce que c'est ?
Et page 150 paf, on tombe dedans, enfin, de l'érotisme débridé, qui fait son effet, oui. On reste dans le soft, on fouette, mais pas au sang. On sodomise, mais on ne déchire pas. On reste glamour et on est loin d'un Dolorosa Soror par exemple. Mais le contrat est rempli. Plus proche d'un « l'esclave » de Delambre que d'un Grey.
L'histoire suit son chemin, avec happy end de rigueur. Sympa.
ça commence comme du très gentil texte pour maman moderne. Limite gnangnan. Pourtant paru après, 50 nuances on réexplique le BDSM au lecteur. Mais qui en 2015 (ou 2020) ne sait pas encore ce que c'est ?
Et page 150 paf, on tombe dedans, enfin, de l'érotisme débridé, qui fait son effet, oui. On reste dans le soft, on fouette, mais pas au sang. On sodomise, mais on ne déchire pas. On reste glamour et on est loin d'un Dolorosa Soror par exemple. Mais le contrat est rempli. Plus proche d'un « l'esclave » de Delambre que d'un Grey.
L'histoire suit son chemin, avec happy end de rigueur. Sympa.
