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Critique de Prilla
Pendant longtemps, les livres sur la maladie me plaisaient énormément. Mais avec Send me a sign, je sens que j'en ai fait le tour. le livre y est pour quelque chose, mais je pense aussi avoir changé, et je trouve que les romans portant sur la maladie se ressemblent tous au final.
Ici, on rencontre Mia, qui croit aux signes, qui voit des significations cachées dans tout ce qu'il se passe. Pendant l'été précédent son entrée en Terminale, elle découvre qu'elle a une leucémie. Son comportement va changé, et sa vie va alors prendre un autre tournant.
Je n'ai pas réussi à comprendre Mia. Les décisions qu'elle prend quant à sa maladie, comment elle décide de la gérer... Je ne comprenais pas, même si les raisons étaient expliquées. Son comportement m'énervait souvent, me consternait aussi. J'avais un peu l'impression qu'elle se prenait pour une princesse qui passe son temps à se plaindre. Alors que parfois, c'est tout à fait compréhensible. Mais entre elle et moi, ça a été loin d'être le grand amour. Son meilleur ami, Gyver, m'a plus plu : il est loyal, attentionné, et patient. Il est absolument adorable, et je me demandais comment il faisait pour garder son calme dans certaines situations. Je dois dire que je l'admirai pour cela ! Les autres amis de Mia sont moins décrits, mais tout aussi important. Ils font avancé l'intrigue, poussent Mia à se questionner, à faire certains choix importants.
J'ai lu ce roman en anglais, et j'ai eu quelques problèmes avec le vocabulaire, j'ai souvent rencontré des mots que je ne connaissais pas, et qui ne sont pas utilisés couramment. Mais ce problème laissé de côté, l'écriture est tout de même relativement agréable. Ce n'est pas extraordinaire, mais elle donne assez de détails pour pouvoir se plonger un minimum aux côtés des personnages, bien que j'ai eu besoin de plus de la moitié du récit pour vraiment réussir à rentrer dedans. Je n'ai pas de suite accroché. Tout est du point de vu de Mia, donc cela permet de bien savoir ce qu'elle pensait, d'être dans la tête d'une personne malade. Mais comme j'ai eu du mal avec ce personnage, je pense que cela a joué sur ma capacité à rentrer dans l'histoire.
L'histoire tourne autour de la façon dont Mia gère sa maladie. Elle ne veut rien changer, mais c'est un peu compliqué, cela lui entraîne des problèmes avec sa famille et ses amis. Certaines décisions sont compréhensibles, d'autres non à mes yeux, mais n'étant pas dans sa situation, je pense que je ne peux pas juger entièrement. Mais je n'ai pas trouvé qu'il y avait grand chose de spécial, d'original, qui sorte de l'ordinaire. C'est pour cela qu'au début, je m'ennuyais beaucoup, et j'avais du mal à me mettre à lire. Je n'avais pas l'impression qu'il se passait grand chose. C'est vers la seconde moitié que j'ai commencé à être plus happée, car il y a plus en jeu pour Mia par rapport à ses relations avec les autres. A partir de là, j'avais très envie de voir ce qu'il allait se passer après chaque décision, réaction. Quant à la fin, elle est un peu banale, mais elle est porteuse d'espoir.
En bref, Send me a sign est un livre portant sur la maladie qui ne m'a pas plus emballé que cela, notamment à cause du fait que je pense avoir fait le tour des romans de fictions touchant à ce sujet. le personnage principal ne m'a pas toujours plu, mais l'histoire est intéressante dans certains aspects, et ce genre de livre pousse toujours, à mes yeux, à réfléchir ne serait-ce qu'un minimum.
Ici, on rencontre Mia, qui croit aux signes, qui voit des significations cachées dans tout ce qu'il se passe. Pendant l'été précédent son entrée en Terminale, elle découvre qu'elle a une leucémie. Son comportement va changé, et sa vie va alors prendre un autre tournant.
Je n'ai pas réussi à comprendre Mia. Les décisions qu'elle prend quant à sa maladie, comment elle décide de la gérer... Je ne comprenais pas, même si les raisons étaient expliquées. Son comportement m'énervait souvent, me consternait aussi. J'avais un peu l'impression qu'elle se prenait pour une princesse qui passe son temps à se plaindre. Alors que parfois, c'est tout à fait compréhensible. Mais entre elle et moi, ça a été loin d'être le grand amour. Son meilleur ami, Gyver, m'a plus plu : il est loyal, attentionné, et patient. Il est absolument adorable, et je me demandais comment il faisait pour garder son calme dans certaines situations. Je dois dire que je l'admirai pour cela ! Les autres amis de Mia sont moins décrits, mais tout aussi important. Ils font avancé l'intrigue, poussent Mia à se questionner, à faire certains choix importants.
J'ai lu ce roman en anglais, et j'ai eu quelques problèmes avec le vocabulaire, j'ai souvent rencontré des mots que je ne connaissais pas, et qui ne sont pas utilisés couramment. Mais ce problème laissé de côté, l'écriture est tout de même relativement agréable. Ce n'est pas extraordinaire, mais elle donne assez de détails pour pouvoir se plonger un minimum aux côtés des personnages, bien que j'ai eu besoin de plus de la moitié du récit pour vraiment réussir à rentrer dedans. Je n'ai pas de suite accroché. Tout est du point de vu de Mia, donc cela permet de bien savoir ce qu'elle pensait, d'être dans la tête d'une personne malade. Mais comme j'ai eu du mal avec ce personnage, je pense que cela a joué sur ma capacité à rentrer dans l'histoire.
L'histoire tourne autour de la façon dont Mia gère sa maladie. Elle ne veut rien changer, mais c'est un peu compliqué, cela lui entraîne des problèmes avec sa famille et ses amis. Certaines décisions sont compréhensibles, d'autres non à mes yeux, mais n'étant pas dans sa situation, je pense que je ne peux pas juger entièrement. Mais je n'ai pas trouvé qu'il y avait grand chose de spécial, d'original, qui sorte de l'ordinaire. C'est pour cela qu'au début, je m'ennuyais beaucoup, et j'avais du mal à me mettre à lire. Je n'avais pas l'impression qu'il se passait grand chose. C'est vers la seconde moitié que j'ai commencé à être plus happée, car il y a plus en jeu pour Mia par rapport à ses relations avec les autres. A partir de là, j'avais très envie de voir ce qu'il allait se passer après chaque décision, réaction. Quant à la fin, elle est un peu banale, mais elle est porteuse d'espoir.
En bref, Send me a sign est un livre portant sur la maladie qui ne m'a pas plus emballé que cela, notamment à cause du fait que je pense avoir fait le tour des romans de fictions touchant à ce sujet. le personnage principal ne m'a pas toujours plu, mais l'histoire est intéressante dans certains aspects, et ce genre de livre pousse toujours, à mes yeux, à réfléchir ne serait-ce qu'un minimum.
