C'est un bon roman mais qui a très peu à voir avec ce que furent les années de plomb et la mouvance terroriste d'extrême gauche de l'époque.
Vanessa Schneider donne des paroles et surtout des pensées à
Joëlle Aubron que celle-ci n'a probablement jamais eue . Je ne retrouve pas non plus grand-chose des idées de Jean-Marc Rouillan que de ma lecture de ces livres m'a laissé .
Ceci dit la lecture est agréable sans plus.
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