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Critique de mylittlefish
Avant toute chose, merci à Babelio et à la maison d'édition BeetleBooks pour l'envoi de ce livre dans le cadre de Masse Critique.
Alors autant annoncer la couleur dès le départ, j'ai eu beaucoup de mal avec cette lecture, et ce pour diverses raisons. Malgré tout, j'ai fini par me prendre au jeu, si je peux me permettre ce jeu de mot avec l'univers de ce roman, et j'en ressors avec un avis moins négatif que ce que j'ai pensé lors de ma lecture des premiers chapitres.
Je vais être franche, le style inclusif a été pour moi, insupportable, ce qui a grandement joué sur mon rythme de lecture et ma capacité à me plonger dans l'univers. Je comprends pourquoi un(e) auteur(e) souhaite écrire de cette manière mais pour moi, ça casse le récit, ça empêche la fluidité de la lecture et donc, ça empêche de s'immerger complétement dans l'univers car notre cerveau n'est pas encore habitué à ce style là justement. Cela étant dit, il n'y a pas que le style inclusif qui m'a fait décrocher à plusieurs reprises. J'ai trouvé que le roman était beaucoup trop long et que certains passages étaient interminables! Sincèrement, on aurait pu sauter des pages entières parfois car il ne s'y passe pas forcément quelque chose d'intéressant mais c'est le style de l'auteur(e), qui par sa plume, décrit les sentiments et les actions de ses personnages de milles manières différentes. Pour moi, le texte en ressort tellement alourdi que je l'ai laissé de côté un certain temps avant de me replonger dans l'histoire.
Mais quand on passe sur la forme du roman, il faut avouer que le fond et la trame sont tout de même assez intéressant et assez recherché. Si au départ, nous sommes aussi perdus que les protagonistes qui sont lâchés dans une course contre la mort, on devine au fur et à mesure le chemin que l'auteur(e) veut nous faire prendre. Mais par contre, gros bémol pour les personnages justement car c'est bien la première fois que je les déteste tous! Je n'ai trouvé d'affinités avant aucun d'eux et ils ont fini par tous me sortir par les yeux! D'ailleurs, quel malheur pour moi de voir qui allait "tenir" jusqu'à la fin...
Bref, dans ce roman là, on vit et on commet l'horreur, on vit les pires vices que les hommes peuvent s'infliger et les pires sévices que les hommes peuvent subir. C'est un roman dur et noir que je ne conseillerais pas à tout le monde tant certains passages sont difficiles à lire et à imaginer. Mais il faut avouer que c'est un roman bien écrit, trop parfois même car j'ai découvert de nouveaux mots, cela faisait longtemps! Il est bien ficelé, il est bien pensé, l'univers offre quelque chose de différent que ce que l'on trouve actuellement et vaut le coup d'être découvert mais pour moi, comme dit précédemment, beaucoup trop long avec le style inclusif qui n'a pas aidé à alléger ses longueurs.
Je recommanderais cette lecture aux lecteurs avertis et qui n'ont pas froid aux yeux, car quand vous entrerez dans ce roman, vous serez partis pour 800 pages d'une horreur absolue !
Alors autant annoncer la couleur dès le départ, j'ai eu beaucoup de mal avec cette lecture, et ce pour diverses raisons. Malgré tout, j'ai fini par me prendre au jeu, si je peux me permettre ce jeu de mot avec l'univers de ce roman, et j'en ressors avec un avis moins négatif que ce que j'ai pensé lors de ma lecture des premiers chapitres.
Je vais être franche, le style inclusif a été pour moi, insupportable, ce qui a grandement joué sur mon rythme de lecture et ma capacité à me plonger dans l'univers. Je comprends pourquoi un(e) auteur(e) souhaite écrire de cette manière mais pour moi, ça casse le récit, ça empêche la fluidité de la lecture et donc, ça empêche de s'immerger complétement dans l'univers car notre cerveau n'est pas encore habitué à ce style là justement. Cela étant dit, il n'y a pas que le style inclusif qui m'a fait décrocher à plusieurs reprises. J'ai trouvé que le roman était beaucoup trop long et que certains passages étaient interminables! Sincèrement, on aurait pu sauter des pages entières parfois car il ne s'y passe pas forcément quelque chose d'intéressant mais c'est le style de l'auteur(e), qui par sa plume, décrit les sentiments et les actions de ses personnages de milles manières différentes. Pour moi, le texte en ressort tellement alourdi que je l'ai laissé de côté un certain temps avant de me replonger dans l'histoire.
Mais quand on passe sur la forme du roman, il faut avouer que le fond et la trame sont tout de même assez intéressant et assez recherché. Si au départ, nous sommes aussi perdus que les protagonistes qui sont lâchés dans une course contre la mort, on devine au fur et à mesure le chemin que l'auteur(e) veut nous faire prendre. Mais par contre, gros bémol pour les personnages justement car c'est bien la première fois que je les déteste tous! Je n'ai trouvé d'affinités avant aucun d'eux et ils ont fini par tous me sortir par les yeux! D'ailleurs, quel malheur pour moi de voir qui allait "tenir" jusqu'à la fin...
Bref, dans ce roman là, on vit et on commet l'horreur, on vit les pires vices que les hommes peuvent s'infliger et les pires sévices que les hommes peuvent subir. C'est un roman dur et noir que je ne conseillerais pas à tout le monde tant certains passages sont difficiles à lire et à imaginer. Mais il faut avouer que c'est un roman bien écrit, trop parfois même car j'ai découvert de nouveaux mots, cela faisait longtemps! Il est bien ficelé, il est bien pensé, l'univers offre quelque chose de différent que ce que l'on trouve actuellement et vaut le coup d'être découvert mais pour moi, comme dit précédemment, beaucoup trop long avec le style inclusif qui n'a pas aidé à alléger ses longueurs.
Je recommanderais cette lecture aux lecteurs avertis et qui n'ont pas froid aux yeux, car quand vous entrerez dans ce roman, vous serez partis pour 800 pages d'une horreur absolue !
