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Critique de iris29
Attention, spoils !
Mon dieu ! Que dire de ce pavé aussi lourd qu'indigeste ?
Il faut dire qu'avec un titre pareil et le résumé de couverture , je pensais tenir une bonne comédie girly et romantique dans le milieu de la mode, ce qui impliquait pour moi, de l'humour, du pétillement, et aucune vulgarité..
Je me suis retrouvée à lire une romance hot, sans aucune nuance, sans vraiment de vraisemblance et où le monde de la mode n'est pas du tout exploité, vu que l'auteur m'a l'air de ne rien y connaitre et n'a fait aucun effort pour donner le change.
Ally est fauchée ( on apprendra plus tard pourquoi ...) . Ally est graphiste , mais Ally est une grosse bosseuse, elle exerce 4 ou 5 métiers alimentaires.
( sauf que dans le roman , on en voit que 2 : serveuse, danseuse ) .
Puis Allie rencontre Dominic et sa mère dans le restaurant où elle travaille, et à cause de lui , elle perd son job. La maman de Dom, lui offre tout de suite un autre boulot dans son magazine pour compenser le préjudice ( parce qu'elle a bon coeur) . Sauf, que :
1/ elle ne sait pas si Allie est compétente ( serveuse et assistante , ça n'a rien à voir ).
Et 2 / Allie a beau être très jolie, elle est habillée comme un sac ( ce qui dans le milieu de la mode est rédhibitoire en principe ...).
Bref, Allie va revoir Dominic , et dés qu'ils se voient , ça fait des étincelles, ils meurent d'envie de [BIP ].
S'en suit une tension sexuelle énoooorme ( !) , mais Dom' ne peut pas ( rapport à son père et au mouvement Metoo ).
Bon je vous rassure, si vous étiez inquiets,vers le milieu, ils pourront [ BIP], et ils n'arrêteront pas de [BIP], vu qu'elle et lui sont supers canons.
MAIS...
Parce qu'il faut qu'il y ait un "mais", sinon, c'est pas drole ! ( et puis surtout ça ne meuble pas les 595 pages, leur amour est (encore ) impossible, parce que Ally , elle est tellement courageuse, brave et fauchée, qu'elle ne veut pas qu'on l'aide , mais lui , il veut aider son "bébé" (en anglais, ça rend sûrement moins tartignole ) , parce que lui , il a tellement de fric, que ce n'est pas un problème pour lui.
Allie est vraiment une fille bien, vu qu'elle paye à la sueur de son front (souvenez-vous des 4/5 boulots) la place de son père en EPHAD (version US ).
Il y a plein de méchants qui lui mettent des batons dans les roues, qui lui font des crasses, dont sa méchante maman...mais toujours elle a le sourire, et elle retourne au taf . (x 5, je rappelle ).
A ce niveau là de drames , on n'est plus dans une comédie romantique, on est dans un soap d'Amérique du sud, bien dramatique, bien stupide et improbable, tout est fait pour faire chialer dans les chaumières, et que surtout, la lectrice ne soit pas jalouse de tant de bonheur final (souvenez -vous : elle a réussi à "pécho" Dom, le fils de la patronne, riche , famous, et super beau gosse aux yeux bleus acier dont toutes les filles du journal sont amoureuses).
Allie, qui au début n'est pas foutue comme un mannequin ( remenber : puisqu'elle a des formes ), fera quand même un défilé et tant qu'on y est, une couv' de magazine,( ou une pub, à ce stade-là, mon cerveau était tout ramollo ).
Mais comme , c 'est pleins de [BIP} vu que ce sont des jeunes gens fougueux ( mais non même pas ! Lui a 45 ans et elle 40 ! des vieux croulants pour ce type de "littérature" ), certaines lectrices apprécieront les passages "mouvementés"...
Moi, je veux bien les "BIP" quand c'est du niveau de L'Amant de lady Chaterley, mais sinon, je trouve vite ça très vulgaire et surtout très ridicule... le pantalon de Monsieur se tend souvent, vu qu'il a d'énormes [ BIP ], rapport au chassis de la dame. .
Au départ, ce roman était sensé être un hommage à "Le Diable s'habille en Prada" (dixit l'éditeur...). Sauf que ce roman décrivait ironiquement les coulisses des magazines de mode et du milieu, celui-ci ne lui arrive pas à la cheville.
On ne rit pas, on ne sourit pas , la psychologie des personnages est pauvre et kitschissime.
Ça m'a vraiment fait penser aux télénovelas,pour le côté drama, et aux 50 nuances de romances "hot" pour le reste.
A ce stade là de pauvreté scénaristique, intellectuelle etc, j'ai souvent pensé à Dany Boon qui me soufflait " Il faut LIIIire". Merci Dany, sans toi pour survoler avec humour et intelligence ce type de pavé, j'en aurais fini par faire tomber mon Marquetapage...;-))
Mon dieu ! Que dire de ce pavé aussi lourd qu'indigeste ?
Il faut dire qu'avec un titre pareil et le résumé de couverture , je pensais tenir une bonne comédie girly et romantique dans le milieu de la mode, ce qui impliquait pour moi, de l'humour, du pétillement, et aucune vulgarité..
Je me suis retrouvée à lire une romance hot, sans aucune nuance, sans vraiment de vraisemblance et où le monde de la mode n'est pas du tout exploité, vu que l'auteur m'a l'air de ne rien y connaitre et n'a fait aucun effort pour donner le change.
Ally est fauchée ( on apprendra plus tard pourquoi ...) . Ally est graphiste , mais Ally est une grosse bosseuse, elle exerce 4 ou 5 métiers alimentaires.
( sauf que dans le roman , on en voit que 2 : serveuse, danseuse ) .
Puis Allie rencontre Dominic et sa mère dans le restaurant où elle travaille, et à cause de lui , elle perd son job. La maman de Dom, lui offre tout de suite un autre boulot dans son magazine pour compenser le préjudice ( parce qu'elle a bon coeur) . Sauf, que :
1/ elle ne sait pas si Allie est compétente ( serveuse et assistante , ça n'a rien à voir ).
Et 2 / Allie a beau être très jolie, elle est habillée comme un sac ( ce qui dans le milieu de la mode est rédhibitoire en principe ...).
Bref, Allie va revoir Dominic , et dés qu'ils se voient , ça fait des étincelles, ils meurent d'envie de [BIP ].
S'en suit une tension sexuelle énoooorme ( !) , mais Dom' ne peut pas ( rapport à son père et au mouvement Metoo ).
Bon je vous rassure, si vous étiez inquiets,vers le milieu, ils pourront [ BIP], et ils n'arrêteront pas de [BIP], vu qu'elle et lui sont supers canons.
MAIS...
Parce qu'il faut qu'il y ait un "mais", sinon, c'est pas drole ! ( et puis surtout ça ne meuble pas les 595 pages, leur amour est (encore ) impossible, parce que Ally , elle est tellement courageuse, brave et fauchée, qu'elle ne veut pas qu'on l'aide , mais lui , il veut aider son "bébé" (en anglais, ça rend sûrement moins tartignole ) , parce que lui , il a tellement de fric, que ce n'est pas un problème pour lui.
Allie est vraiment une fille bien, vu qu'elle paye à la sueur de son front (souvenez-vous des 4/5 boulots) la place de son père en EPHAD (version US ).
Il y a plein de méchants qui lui mettent des batons dans les roues, qui lui font des crasses, dont sa méchante maman...mais toujours elle a le sourire, et elle retourne au taf . (x 5, je rappelle ).
A ce niveau là de drames , on n'est plus dans une comédie romantique, on est dans un soap d'Amérique du sud, bien dramatique, bien stupide et improbable, tout est fait pour faire chialer dans les chaumières, et que surtout, la lectrice ne soit pas jalouse de tant de bonheur final (souvenez -vous : elle a réussi à "pécho" Dom, le fils de la patronne, riche , famous, et super beau gosse aux yeux bleus acier dont toutes les filles du journal sont amoureuses).
Allie, qui au début n'est pas foutue comme un mannequin ( remenber : puisqu'elle a des formes ), fera quand même un défilé et tant qu'on y est, une couv' de magazine,( ou une pub, à ce stade-là, mon cerveau était tout ramollo ).
Mais comme , c 'est pleins de [BIP} vu que ce sont des jeunes gens fougueux ( mais non même pas ! Lui a 45 ans et elle 40 ! des vieux croulants pour ce type de "littérature" ), certaines lectrices apprécieront les passages "mouvementés"...
Moi, je veux bien les "BIP" quand c'est du niveau de L'Amant de lady Chaterley, mais sinon, je trouve vite ça très vulgaire et surtout très ridicule... le pantalon de Monsieur se tend souvent, vu qu'il a d'énormes [ BIP ], rapport au chassis de la dame. .
Au départ, ce roman était sensé être un hommage à "Le Diable s'habille en Prada" (dixit l'éditeur...). Sauf que ce roman décrivait ironiquement les coulisses des magazines de mode et du milieu, celui-ci ne lui arrive pas à la cheville.
On ne rit pas, on ne sourit pas , la psychologie des personnages est pauvre et kitschissime.
Ça m'a vraiment fait penser aux télénovelas,pour le côté drama, et aux 50 nuances de romances "hot" pour le reste.
A ce stade là de pauvreté scénaristique, intellectuelle etc, j'ai souvent pensé à Dany Boon qui me soufflait " Il faut LIIIire". Merci Dany, sans toi pour survoler avec humour et intelligence ce type de pavé, j'en aurais fini par faire tomber mon Marquetapage...;-))
