Difficulté de raconter l'horreur au risque de ne pas être cru, difficulté de vivre tout court à la libération après un retour du camp de Buchenwald où la mort était trop familière et tellement imminente, mais où la fraternité et la poésie était omniprésente chez ces compagnons d'infortune.
À lire absolument pour ne pas oublier.
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