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Critique de LoupAlunettes


Quel album singulier!
La première de couverture ne nous préparera pas à ce qui suivra.
Cette vieille femme raconte t-elle l'histoire du Limboland à son chat? Ce dernier semble désarçonné par sa confidence.
" C'était un jeudi-non, non, un samedi-..."bref, peu importe, un jour il est arrivé quelque chose à Presto et Zesto.

Cela commence bien ou cela commence mal?
Nous verrons. Dis donc, Presto et Zesto, c'est pas un peu des noms de clowns, façon duo de clown blanc et auguste?
On nous dit que ce qui leur ai arrivé s'est passé au Limboland.
Est-ce lié au infernales limbes des légendes dont nul ne revient ou bien à la fameuse danse exotique du bâton le " Limbo"?
Montrons-nous patient et poursuivons.
À propos de bâton, le duo rencontrèrent un berger, un berger affolé.
Il s'averait que lui et bien d'autres personnages se trouvaient piégés dans le scénario du Limboland, coincés, comme le duo le seront donc au final.
Ne dites pas pourquoi mais comment s'en sortir.

L'aventure pleine de non sens (dont on ne voit jamais le Presto et le Zesto) imposera de prendre le train en route sans discuter et voila donc le duo ( hors champs) parti en quête d'un cadeau ultime pour le mariage qui devrait délivrer tous les personnages de l'histoire.
On nous dira qu'il n'existe qu'un cadeau valable dans ce scénario, pas d'alternative, il faudra prendre son biniou à un monstre pour l'offrir en cadeau de mariage à deux betteraves qui veulent finir le reste de leur vie ensemble.
Nous nous dégageons de toutes responsabilités si vous vous énervez, si vous poufferez de rire, de ne pas comprendre, de ne pas arriver à trouver un fil de bon sens qui traîne. Tout cela, c'est la faute des auteurs Arthur Yorinks et Maurice Sendak.
Vous pourriez aisément sortir de là et fermer ce livre, jeunes lecteurs, mais n'avez-vous pas envie de savoir?

Nous verrons le fameux monstre, le biniou, la tête de Presto, la tête de Zesto, deux betteraves vêtues de blanc et même aussi la fin de cette histoire.
Quelle histoire!
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