Il aura fallut attendre 6 ans entre le quatrième album et ce cinquième et dernier album de la série Janitor. A l'occasion de la sortie de cet album, j'ai relu à la suite les quatre premiers et force est de constater que
Boucq ne tient pas la distance pour les graphismes. D'album en album les détails architecturaux, de la vie citadine disparaissent, les images se simplifient. Cela donne le sentiment d'un travail réalisé un peu dans l'urgence et sans grande conviction. le scénario de Sente s'éternise. Autant les deux premiers albums sont riches en rebondissements, avec des dessins nerveux, des plans audacieux. Donc déception.
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