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Critique de Cronos
Le silence des agneaux coréen, le ton est donné, il va falloir assurer derrière car j'ai adoré le livre comme le film. A peine quelques pages lu que je flair déjà le coup de coeur, il est ce genre de livre qu'on commence un après-midi et quand on relève le nez du livre, il fait nuit.
Sang-uk et Dong-sik, un agent de police et un enquêteur des pompiers, se retrouvent face à une série d'incendies criminel, jusque-là rien d'extraordinaire si ce n'est ce drap blanc sur les dernières victimes, un premier indice pour le lecteur. L'auteure prend un peu de temps pour poser son décor et le caractère de ses personnages dans ce premier chapitre, dans le second le « je » l'emporte, ce qui semble être notre criminel tutoie le lecteur, ce qui est assez troublant mais ça m'a plu. Par la suite les chapitres continuent de s'alterner entre notre duo d'enquêteurs et ce mystérieux tueur.
Page 31, l'abcès est crevé, la référence au Silence des agneaux tombe et ce n'est pas plus mal car je pense que j'aurais sans cesse comparé les deux romans sans ça. Maintenant je peux me concentrer sur ce récit.
Seon-gyeong sera notre enquêtrice principale, elle enseigne également à ses étudiants l'art du profilage, une pro dans le domaine de la criminologie, qui apprend au passage au lecteur quelques rudiments du métier.
Je n'ai pas vu les pages défiler, quel plaisir de lire un bon thriller ! La dimension psychologique du tueur, et de celui-ci par rapport au lecteur et à Seon-gyeong est exécuté à merveille. J'aime bien les phases alternées entre l'enquête et la jeunesse du tueur, cela fonctionne ici alors que dans d'autres livres j'ai pu trouver que ça cassait le rythme. J'aurais aimé insérer un défaut ici mais je ne lui en trouve pas, les personnages sont bons et rentre dans les codes du thriller tout en apportant cette nouveauté coréenne. le rythme est excellent, j'ai lu vite mais pas dans la précipitation, je voulais savoir, j'avais besoin de satisfaire ma curiosité, j'étais à fond dedans avec beaucoup de plaisir de découvrir un aussi bon livre. C'est un peu étrange de lire un thriller avec le sourire mais à page je me disais que c'était une bonne idée, que s'il se passe ceci ça veut dire que cela aura un impact de telle façon sur l'enquête. J'avais les neurones en fusions.
Encore une fois quel plaisir à lire ! J'attendais depuis longtemps un aussi bon roman, les coréens savent créer une atmosphère particulière, quasi ésotérique dans leurs oeuvres et c'est bon, ça fonctionne aussi bien sur quelqu'un qui a l'habitude de lire ce type de livre que sur les nouveaux dans le domaine. Mon père a adoré aussi.
Sang-uk et Dong-sik, un agent de police et un enquêteur des pompiers, se retrouvent face à une série d'incendies criminel, jusque-là rien d'extraordinaire si ce n'est ce drap blanc sur les dernières victimes, un premier indice pour le lecteur. L'auteure prend un peu de temps pour poser son décor et le caractère de ses personnages dans ce premier chapitre, dans le second le « je » l'emporte, ce qui semble être notre criminel tutoie le lecteur, ce qui est assez troublant mais ça m'a plu. Par la suite les chapitres continuent de s'alterner entre notre duo d'enquêteurs et ce mystérieux tueur.
Page 31, l'abcès est crevé, la référence au Silence des agneaux tombe et ce n'est pas plus mal car je pense que j'aurais sans cesse comparé les deux romans sans ça. Maintenant je peux me concentrer sur ce récit.
Seon-gyeong sera notre enquêtrice principale, elle enseigne également à ses étudiants l'art du profilage, une pro dans le domaine de la criminologie, qui apprend au passage au lecteur quelques rudiments du métier.
Je n'ai pas vu les pages défiler, quel plaisir de lire un bon thriller ! La dimension psychologique du tueur, et de celui-ci par rapport au lecteur et à Seon-gyeong est exécuté à merveille. J'aime bien les phases alternées entre l'enquête et la jeunesse du tueur, cela fonctionne ici alors que dans d'autres livres j'ai pu trouver que ça cassait le rythme. J'aurais aimé insérer un défaut ici mais je ne lui en trouve pas, les personnages sont bons et rentre dans les codes du thriller tout en apportant cette nouveauté coréenne. le rythme est excellent, j'ai lu vite mais pas dans la précipitation, je voulais savoir, j'avais besoin de satisfaire ma curiosité, j'étais à fond dedans avec beaucoup de plaisir de découvrir un aussi bon livre. C'est un peu étrange de lire un thriller avec le sourire mais à page je me disais que c'était une bonne idée, que s'il se passe ceci ça veut dire que cela aura un impact de telle façon sur l'enquête. J'avais les neurones en fusions.
Encore une fois quel plaisir à lire ! J'attendais depuis longtemps un aussi bon roman, les coréens savent créer une atmosphère particulière, quasi ésotérique dans leurs oeuvres et c'est bon, ça fonctionne aussi bien sur quelqu'un qui a l'habitude de lire ce type de livre que sur les nouveaux dans le domaine. Mon père a adoré aussi.
