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Mon premier livre d'une autrice coréenne.

Une criminologue peu expérimentée a l'opportunité d'interroger en prison un tueur en série jusqu'ici récalcitrant à communiquer.
Cette même criminologue se retrouve à devoir élever une petite fille, enfant du premier mariage de son mari.

Un parallèle incessant va être fait entre le meurtrier récidiviste et cette petite fille étrange, renfermée, qui n'a fait que subir les actes de sa mère les premières années de son existence.

Plusieurs choses m'ont sauté aux yeux et m'ont empêché d'apprécier pleinement ma lecture.

L'inexpérience de Seon-gyong est pire que celle de notre chère Clarice internationale et c'en est rageant.

Cette femme intelligente et accomplie ne fait que subir les décisions ou plutôt l'absence de décision de son mari pourtant principal concerné par l'éducation de sa fille.
Elle est l'épouse qui prépare les vêtements du lendemain de son mari et qui pare aux absences professionnelles de ce dernier.

Et enfin elle est criminologue donc ayant fait des études en psychologie. Comment peut-elle être aussi aveugle, obtus concernant l'état psychologique de sa belle-fille ?

L'une des principales trames de ce livre est une situation familiale ce qui en fait un thriller domestique ce dont j'ai horreur.

Je n'ai lu que des retours positifs concernant ce livre donc prière de ne pas tenir compte de mon avis.
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Pour avoir fait un stage au FBI (quinze jours sans grand intérêt lors de son cursus universitaire), la jeune criminologue Seon-geyong Lee est surnommée Clarice Starling par ses étudiants. Sobriquet prémonitoire puisque, à l'instar de Jodie Foster dans le silence des agneaux, elle est sollicitée par le célèbre tueur en série Byeong-do Lee qui attend la mort dans une prison séoulite. Pourquoi elle, encore si peu connue dans sa profession ? Et pour lui dire quoi ? Veut-il raconter les circonstances qui l'ont poussé à tuer des dizaines de femmes ? Lui donnera-t-il des indices sur les lieux de ses charniers ? Effrayée mais guidée par sa conscience professionnelle, Seon-geyong rencontre ‘'le diable au visage d'ange'' et rentre chez elle, secouée par cette brève confrontation, pour découvrir que son mari a recueilli chez eux sa fille Ha-young. Née d'un premier mariage, la fillette âgée d'une dizaine d'années vient de réchapper à un incendie qui a tué les grands-parents qui l'élevaient depuis le décès de sa mère un an plus tôt. Seon-geyong va devoir développer des trésors de patience pour apprivoiser cette enfant perturbée et hostile.

C'est étrange comme les lectures se suivent, totalement différentes, et pourtant reliées par le thème central de la maternité. Après Nili et sa mère oscillant entre indifférence et froideur dans La mer noire dans les grands lacs et la mère trop tourmentée pour aimer de Betty, Mi-ae Seo nous raconte l'enfance perturbée de Byeong-do abreuvé d'insultes et de coups par une mère plus que défaillante qui a fait d'un petit garçon apeuré et assoiffé d'amour un des plus célèbres serial-killer de Corée.
Différents lieux, différentes époques et ce fil conducteur des conséquences du désamour maternel…
Confrontée à ce tueur sans pitié qui lui confie des bribes de son passé, la criminologue doit aussi gérer les difficultés de l'arrivée d'une enfant dans son couple jusqu'ici équilibré. Son mari lui avait caché la mort de son ex-femme ainsi que les détails de leur séparation mal vécue par la mère de sa fille. Et le voilà qui amène cette enfant triste et mutique dans l'appartement conjugal pour finir par la laisser à la garde exclusive de Seon-geyong, lui étant trop pris par son travail. Seule et inexpérimentée, la jeune femme fait ce qu'elle peut face à une fillette difficile et inquiétante. Au rythme de ses visites à la prison et de ses tentatives de rapprochement avec Ha-young, des regards, des comportements chez l'enfant lui rappellent Byeong-do, au point qu'elle finit par en avoir peur…
Un thriller psychologique glaçant, perturbant, effrayant. Qui décortique les motivations d'un tueur de sang froid mais oppose aussi la société coréenne à ses lacunes. Une société où il ne faut pas faire de vagues et garder pour soi ses sentiments et où l'on se sent bien seul. Seul avec ses fêlures, ses deuils, ses colères, ses chagrins, ses angoisses…
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Quand un serial-killer psychopathe et psychologue demanda à voir dans sa cellule une jeune criminologue pour s'épancher sur ses crimes... Je ne te refais pas le pitch qui te ferait croire à un vieux film des années 90, écoute le silence haute-sécurité, des agneaux y dorment, rêvant d'hémoglobine et de sauce kimchi. La serveuse, tout sourire et discrétion m'a ramené à ma table, celle du fond plongé dans une demi-pénombre, une bière et mon bibimbap : le kimchi ne s'est pas révélé aussi épicé que je l'aurais désiré. Je plonge mon regard, dans mon verre, mon bouquin, la serveuse, attendant solitairement le calme du matin.

Seon-Gyeong est à un tournant de sa carrière, de sa vie aussi. Pourquoi cette bête humaine, sanguinaire manipulateur, veut la voir. Les fantômes d'une douzaine de femmes assassinés l'empêcheraient-ils de dormir du sommeil du juste. Une simple requête, pourtant, qu'elle vienne seule et avec une pomme rouge et juteuse. Va trouver toi un verger à cette époque de l'année pour cueillir de belles pommes. Et en plus, la jeune fille de son nouveau mari vient s'installer chez eux, alors qu'elle ignorait tout de son existence. Pauvre petite fille...

Des sirènes de pompier. Il y a des airs qui trottent inlassablement dans la tête, une ritournelle qui martèle l'esprit, comme une chanson des Beatles ou comme un marteau qui s'enfonce dans le crane de cette femme, martèle, martèle, frappe, le sang gicle, le crâne explose, des bouts d'os qui s'effritent... Enfermez-moi, enfermez-moi. Une petite voix qui me dicte, tue-là la, c'est maman, Bonne nuit maman. Tiens, une odeur de fumée... et de corps brûlés. Un ours en peluche dans ses petits bras.

Intrigant. La serveuse revient, je lui demande une nouvelle bière et lui suggère la prochaine fois de corser son kimchi, comme au pays du matin calme.
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C'est quoi un bon thriller ?

C'est bien sûr un livre qui t'embarque là où tu ne t'attendais pas ; qui te retourne en cours ou en fin de lecture d'un twist inventif ; qui te place dans un état addictif et te conduit à enchaîner les chapitres en repoussant sans cesse le temps de pause ; qui te transpose dans la peau et l'âme d'au moins un de ses personnages… Ajoute le catapultage dans un cadre inhabituel pour le genre, et tu as tous les ingrédients du bon thriller !

Il y a tout cela dans Bonne nuit maman de Seo Mi-ae – traduit par Kwon Jihyun et Rémi Delmas -, lu d'une traite en 24 heures. Conformément à l'accroche (« le silence des agneaux coréen »), nous voilà à Séoul avec Seon-Geyong, jeune criminologue choisie par le tueur en série emprisonné Byeong-do, pour recueillir ses confidences. En l'écoutant peu à peu dévoiler son passé, Seon-Geyong découvre l'importance du lien sordide qui unissait Byeong-do enfant à sa mère.

Un lien qui résonne de manière particulière pour Seon-Geyong qui accueille dans le même temps au sein de son foyer, la fille de son mari issue d'un premier mariage. Après le décès de sa propre mère puis de ses grands-parents lors d'un incendie, la fillette est loin d'être prête à faire de Seon-Geyong sa nouvelle maman et les relations se tendent rapidement…

L'intrigue est solide et menée efficacement, créant une atmosphère tendue et inquiétante, contrastant souvent avec l'apparente distance des relations sociales coréennes, dont la découverte n'est pas le moindre intérêt de ce livre : le comportement de Seon-Geyong avec son mari ou avec sa « fille », mais aussi celui des policiers ou gardiens de prisons, surprennent nos raisonnements occidentaux, apportant au passage un regain d'intérêt.

La fin est travaillée à souhait pour qu'une fois le livre terminé, on espère la sortie rapide des futurs opus de cette trilogie annoncée. Alors, vite, vite !
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La vie de Seon-Gyeong est un peu bousculée en ce moment.
Dans sa vie professionnelle de criminologue, elle doit gérer un détenu serial killer qui n'accepte de parler qu'à elle. Pourquoi ? Veut-il simplement jouer, manipuler ? Va –t-il lui confier des éléments ? Des choses ont été retrouvées mais la police n'a pas réussi à relier ces éléments à des crimes….
Dans sa vie plus personnelle, les évènements bougent également. Son mari est contraint de faire venir sa fille Ha-Yeon qu'il a eue d'une union précédente chez eux. Un incendie vient de tuer ses grands parents qui s'occupaient d'elle depuis la mort de sa mère. D'ailleurs des mortes qui commencent à beaucoup s'accumuler autour de cette petite fille… plutôt flippante.
« Bonne nuit maman » est le premier opus et j'attends de voir ce que peut donner les suivants. Une lecture plutôt terrifiante, glaçante,…même si prévisible. On peut devenir criminelle très très jeune et c'est ce que met en avant ce livre. A la fin j'étais flippée et perturbée par le comportement de cette gamine, je m'imaginai vivre sous le même toit qu'elle…
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Byeong-do, un jeune tueur en série qui a assassiné plus d'une dizaine de femmes, décide de révéler des informations sur ses crimes et c'est sur une jeune criminologue, Seon-gyeong qu'il porte son choix, à la grande surprise des pairs de la jeune femme et du personnel pénitentiaire qui se méfie de ce détenu pervers qui risque de se jouer de la jeune criminologue. Cette dernière doit également gérer une situation personnelle déstabilisante...Son mari doit s'occuper de Ha-yeong, sa jeune fille de 12 ans, dont la mère s'est suicidée l'année précédente et qui vient d'ėchapper à un incendie qui a vu la mort de ses grands-parents. La petite fille a un comportement étrange entre fragilité, cruauté, changements d'humeur et nombreux signes inquiétants d'insensibilité. Seon-gyeong a du mal à résister à ces deux pressions et aux manipulations tantôt du jeune tueur et de la jeune Ha-yeong.
Un thriller qui met du temps à se mettre en place et des personnages assez bien dessinés avec en tête une jeune criminologue qui gère plus facilement les relations perverses avec le dangereux tueur en série qu'avec une petite fille dont elle ne sait rien et avec laquelle elle multiplie les maladresses. Des maladresses sitôt exploitées par une enfant qui se retranche derrière son père et qui semble bien plus forte et retorse que son physique ne le laisse supposer.

Bonne nuit maman est une lecture un peu lente; même si le sujet est intėressant, les situations sont quelque fois extrêmes et pas toujours crédibles. Ce roman est le premier d'une trilogie à venir, mais je ne suis pas sûre de lire les deux autres opus.

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Combien palpe Augustin Trapenard pour dire/écrire que ce roman se situe « entre 'Le Silences des Agneaux' et 'Mindhunter' » ?
= pub sur la 1e de couverture
Soit je me suis endurcie en trente ans, soit 'Mindhunter' est vraiment faiblard (je ne connais pas).
.
Deux histoires, au début : une petite fille de onze ans rescapée d'un incendie, et un serial killer qui souhaite rencontrer une psycho-criminologue. Bien sûr, cela va converger.
.
Bien que bizarrement traduit (négation marquée ou pas dans une même phrase de dialogue, par exemple), ce thriller est prenant.
J'ai particulièrement apprécié les échanges entre Seon-gyeong et Byeong-do, même si la carapace se fissure un peu trop facilement & rapidement. Comme Marc Dugain dans 'Avenue des Géants', l'auteur arrive à rendre un/des 'monstre(s)' touchant, en évoquant les traumatismes de l'enfance.
Mais Seo Mi-Ae ne se soucie aucunement de la crédibilité de son intrigue.
.
J'apprends qu'il s'agit du premier volet du trilogie. Lorsque je lis en diagonale le résumé du deuxième opus, je suis encore plus perplexe sur la fin de 'Bonne nuit' et sur le manque de jugeote de ... 🤔
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The only child (ou Bonne nuit maman en français) fait partie des sorties littéraires de février que j'attendais avec impatience. Je viens tout juste de refermer la dernière page de ce livre et il m'est difficile de dire si j'ai aimé ou pas. Il y a du pour et du contre qui me laisse perplexe.

On suit Seonkyeong, criminologue qui est appelé par un serial killer qui est sous les verrous. Il souhaite lui parler uniquement à elle. En parallèle, on découvre la vie de notre criminologue qui se voit charger de s'occuper de la fille de son époux après un grave incendie.

Tout d'abord, c'est un roman très noir comme on peut s'en douter a la lecture du résumé. Là-dessus pas de tromperie sur la marchandise. Là où réside le problème, c'est qu'il n'y a aucun sentiment. Les asiatiques sont pudiques et ne montrent rien, mais ici impossible de s'attacher aux personnages, d'éprouver quelque chose pour eux. On reste un spectateur de marbre tout comme les protagonistes de l'histoire : Seonkyeong par exemple et sa relation avec son mari qui donnent l'impression de voir deux colocataires plutôt qu'un vrai couple.

Il y a aussi un problème de style dans la version originale ou dans la traduction anglaise qui donne des répétitions constantes ou le texte aurait pu être allégé. Il faut parfois quatre phrases ou il pourrait y en avoir qu'une seule. Tout ça alourdit le texte et ralentit énormément le rythme du roman.

Au final, le roman est très accès sur les personnages et moins sur l'intrigue et je m'attendais à autre chose. En savoir plus sur ce fameux serial killer qui ne sert que de prétexte et n'apporte rien à l'histoire si ce n'est détourner l'attention du lecteur du véritable danger qui se trame.

En tout cas, le suspense est omniprésent et on sent la tension monter petit à petit. La fin est complétement renversante et j'adore ce genre de twist que l'on n'a pas vu venir. C'est apparemment le premier tome d'une trilogie et je suis curieuse de voir la suite même si je reste partagée sur ce premier roman.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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Ce que j'ai ressenti:
🔒Histoire de verrous🔒

« Parfois, je me demande: qu'est-ce qui ne va pas dans ma tête? »

Quand tous les cadenas de ton cerveau sautent,qu'est ce qu'il te reste? Qu'est-ce qu'on peut faire avec des souvenirs trop durs, trop douloureux qui explosent ton esprit? Comment réparer les traumatismes de l'enfance? Avec ce thriller coréen efficace, nous approchons de près les mécanismes de l'esprit perturbé d'un serial-killer et c'est terriblement terrifiant. L'auteure Seo-Mi-Ae nous prépare un petit « date » au plus près de la psychologie d'un criminel multi-récidiviste, avec ce qu'il faut de tension et d'intimité pour saisir les tréfonds ténébreux de l'âme humaine…Un à un, les cadenas s'ouvrent, au prix de mots qui font mal et des images qui déglinguent les perceptions…Et la réalité devient vite cauchemar….Et Bonne Nuit, Maman

⚡️Bang-Bang. Orages. Maman.⚡️

L'imprévisibilité. Je trouve que c'est le maître mot de ce qui attend, véritablement, Seon-gyeong, cette criminologue coréenne. Ça lui tombe un peu dessus comme ça: le ciel, le tueur et la maternité. Et si l'on n'est pas, un minimum, préparée, ça peut vite devenir déstabilisant… Mais qui peut l'être vraiment? Sait-on jamais quand l'orage va peter? Sait-on pourquoi on se retrouve sous les feux? Sait-on pourquoi on n'est jamais tout à fait prête à être maman? (D'autant plus, si on ne l'a pas décidé?) Alors imaginer qu'elle puisse avoir des nuits sereines, c'est sans compter sur tout ça, mais quand même, Bonne Nuit Maman…J'ai trouvé que cet angle d'approche que choisit l'auteure, pour mettre en avant ces tourments-là, était vraiment réussi. C'est original autant que perturbant. Et forcément, on se retrouve à craindre, avec cette héroïne très sollicitée malgré elle, toute la déferlante de ces éléments…

Quoi de plus effrayant que la réalité?
🤫Silence et Référence🤫

J'ai adoré ce thriller dans sa forme, et l'ambiance sourde qu'il contient. C'est un page-turner sombre et intéressant. Cette lenteur magnétique qui vient te remuer à l'intérieur jusqu'à bouger les verrous d'une des nombreuses portes de l'enfer…En fait, le seul bémol que j'ai ressenti, et c'est étrange parce que c'est bien évidemment ce qui m'a attirée au départ, c'est cette référence au fameux « le Silence des agneaux ». (Si certains ont des attentes, ça peut dérouter, voire décevoir…) Pour ma part, je suis passée outre, bien vite et je me suis concentrée sur les points forts de l'intrigue…D'ailleurs, puisque c'est le premier tome d'une trilogie, j'ai hâte de découvrir la suite!

Quand on désire quelque chose avec ardeur, rien d'autre ne compte.


Ma note Plaisir de Lecture 8/10
Lien : https://fairystelphique.word..
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Livre lu dans le cadre du Prix des Lecteurs du Livre de Poche.
Il s'agit de mon premier polar coréen. D'une manière générale, lis peu de littérature asiatique, car c'est souvent un peu trop lent pour moi, même si je sais en apprécier de temps en temps. Ici, on retrouve le côté plus lent, ou plutôt qui prend le temps de se déplier, de se dévoiler. Mais dans ce type de roman chargé en tension et en angoisse, c'est un style très adapté.
Il y a deux histoires qui se déploient en parallèle. D'un côté, un tueur en série flippant et emprisonné, raconte sa vie à Seon-gyeong, experte dans ce domaine. On y découvre les tréfonds de son âme torturée et son enfance qui a contribué à faire de lui ce qu'il est. de l'autre côté, Seon-gyeong accueille dans son foyer la fille de son mari, qui a grandit auprès d'une mère possessive. Cette petite fille, au-delà des traumatismes qu'elle a connu, va s'avérer avoir un comportement qui pose question.
La tension monte tout doucement. J'ai beaucoup aimé le principe d'attirer l'attention du lecteur vers un danger pendant qu'un autre couve dans l'ombre. Ceci-dit, j'ai trouvé le personnage de Seon-gyeong un peu fade par rapport à l'ambiance générale. Elle me paraît particulièrement effacée par rapport à la situation, elle accepte sans broncher les secrets et les mensonges de son mari et en plus, en assume les conséquences. Cette partie m'a quelque peu agacée.
Mais à part ça, ce fut une bonne lecture. Je continuerai avec plaisir cette trilogie.
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